• Une agréable rencontre ...

     

    Je me connecte enfin sur Sexyloo, je viens de me lever.
    J'ai les cheveux ébouriffés, la peau de mon visage encore marquée par mon oreiller.
    D'une main sure je m'allume ma cigarette matinale, prend une gorgée de mon café brulant et regarde de suite si quelqu'un m'a adressé un message sur le site.
    5 messages clignotent en haut de page.
    Je suis certaine déjà du 1er d'entre eux, mon ami Alain qui m'adresse ses respects matinaux, avec une photo de son sexe érigé en gros plan.
    Que je l'aime ce type !

    2ème et 3ème messages, des hommes inconnus qui me kissent, encore et encore ...
    Genre on balance un appât pour poisson à l'eau en espérant que ça morde ...

    4ème message, mon mentor du site, celui qui me l'a expliqué en long et en large.
    Echange de banalités qui font du bien, me dire qu'au moins pour une personne sur ce site, je ne suis pas qu'un morceau de viande à consommer.

    5ème message c'est toi, la première fois que tu t'adresses à moi.
    Echange poli et courtois d'un homme élégant qui dès le 1er abord me plait par ses manières.
    Vite je clique sur sa fiche perso : pas grand chose à apprendre si ce n'est qu'il habite la même région que moi et qu'il est hétéro.
    Pas de photo, dois je en déduire que c'est un homme timide ? un homme qui doute de son apparence physique ? un homme qui n'est pas libre dans sa vie pour pouvoir se permettre de se découvrir ?
    Je le lui demanderai surement, me connaissant.
    Nous nous quittons après un tchat bien sympathique, sans que nous n'ayons échangé la moindre parole scabreuse.

    Je le retrouve avec plaisir quelques jours après, je suis alors dans un triste état et certainement pas encline à m'engager dans un dialogue coquin.
    J'ai passé une nuit vraiment horrible avec une rage de dents à me taper la tête contre les murs !
    J'ai du avoir énormément de fièvre car à l'heure où le réveil à sonné, j'étais trempée.
    Mais pas le temps de me préoccuper de mon mal-être, nous devions conduire mon fils à l'aéroport pour son départ à l'étranger.
    500 km aller-retour passés dans un semi-brouillard, des au-revoir déchirants et mes larmes tout au long de la route.
    Très peu de mots échangés avec mon compagnon qui comprenait ma peine et essayait de la soulager sans y parvenir.

    Et c'est toi, Lolo comme je t'appelle si souvent, qui a su trouver les mots qui m'ont redonné le sourire.
    Avec patience et compassion tu m'as écoutée, moi, qui, égoistement, te vidais mon sac de misère.
    Notre conversation a alors pu coller un peu plus à l'ambiance de ce site qui a permis notre rencontre virtuelle.
    Et maintenant c'est moi qui ai envie de te soulager de tes maux, de tes envies de sexe.
    Tu sais bien sur qu'au mode Réel, rien ne sera possible entre nous ... je reste une femme fidèle avant tout.
    Mais au mode Virtuel, un océan de plaisir charnel nous attend !

    Je me blottis volontiers dans tes bras, à distance d'ordinateur.
    Mes mains se calent sur ta nuque et mon nez dans ton cou.
    Je te dévore de millions de petits baisers, goutant le grain de ta peau, m'enivrant de ton odeur masculine si particulière.
    Mes lèvres découvrent les tiennes, lentement, ma langue caresse ta lèvre inferieure avec délice.
    Tu appuies ce baiser, lui donnant un caractère plus passionnel qui me fait chavirer les sens.
    Je sens tes mains parcourir ma poitrine, serrée contre toi, nos deux coeurs battant à l'unisson.
    Mes mains descendent dans ton dos en 1000 arabesques lascives qui t'arrachent de longs râles à peine perceptibles.
    Elles sont arrêtées par la ceinture à ta taille, ceinture dont je me débarrasse rapidement.
    Mes yeux sont plongés dans les tiens, nulle parole n'est nécessaire en ce moment.
    Tu me regardes amoureusement, je le sais, je le vois.
    Ce pouvoir que j'ai sur toi est égal à celui que tu exerces sur moi, sans le savoir.
    Nous nous sourions coquinement, tous nos sens sont en éveil.

    Tu saisis ma main et m'entraine dans ta chambre, me dépose sur ton lit.
    Ton regard brille de désir, tel le mien je suppose.

    Toi : Manue je te désire tant ! Vois dans quel état tu m'as mis, me dit-il en me laissant découvrir le renflement à son entrejambe ...
    Moi : J'ai envie de toi mon Lolo, viens, laisse couler ton amour ...

    Il me reprend alors dans ses bras si puissants avec passion.
    Ses lèvres reprennent possession de ma bouche tandis que se doigts titillent la pointe de mes seins.
    Je sens contre mon ventre son sexe durcir.
    D'un coup de main habile, je libère ce doux monstre de l'emprise de son boxer et de son jeans.
    Laurent se redresse alors et termine mon déshabillage en ôtant ses affaires.
    Il se saisit du haut de mon collant en nylon et lentement l'abaisse, fait suivre à ma petite culotte en dentelle le même chemin en me souriant, toujours.
    Je suis aux anges !
    Mon coeur bat la chamade, comme le sien je le devine.
    Toute gêne oubliée entre nous, je m'attache à découvrir son corps.
    Ses épaules si puissantes, son torse contre lequel j'aime à me blottir, ses hanches, pleines, un léger embonpoint qui ne me dérange nullement et que je regarde avec adoration.
    Son petit nombril duquel descend une ligne de poils sombres qui vient mourir dans les poils de son pubis.
    De mon doigt je descends cette ligne et viens caresser timidement ce gland qui m'est offert et qui palpite à mon contact.
    Ceci déclenche un vent torride entre nous.

    Il mime mon geste et descend à son tour de mon nombril à mon pubis.
    Il le mordille doucement, je me tortille déjà, en ouvrant mes cuisses à sa caresse.
    Encore son regard qui laisse transparaitre tant de choses.
    Sa satisfaction tout d'abord à être là avec moi puis celle de pouvoir enfin gouter à l'amour en ma compagnie.
    Mes doigts sont crispés sur les draps.
    Mon corps est en sa possession totale.
    Sa langue butine ma fleur telle une abeille.
    De temps à autre je sens la pointe de sa langue s'enfoncer dans mon vagin.
    Cette sensation charnelle me rend folle.
    Je suis toute à mon plaisir, les yeux fermés.
    J'entends les bruits de succion de sa bouche sur mon clito et ça me ravit.
    Je sens déjà ma jouissance arriver ... non ! pas si vite !
    Faisons durer ce plaisir grandissant !

    Toi : qu'est ce qu'il y a ma chérie ? ça ne te plait pas que je te lèche ainsi ?
    Moi : non ce n'est pas ça mon Lolo, mais j'ai juste envie que ça dure un peu plus je lui réponds avec un sourire coquin ...
    Toi : ah ok ! tu m'as fais peur dit il en riant.

    Je l'embrasse alors à pleine bouche pour le rassurer.
    Enchantée par la divine caresse qu'il vient de me prodiguer je ne veux pas le laisser en reste.
    Sur le dessus de son lit je m'agenouille alors et le prends en main, avant que ma bouche ne descende sur lui.
    Sa queue est raide et chaude, son gland affiche une teinte rouge sombre.
    Je le sens frémir entre mes lèvres et il commence doucement à bouger son bassin en avant.
    Mes mains se plaquent sur ses fesses et s'enfoncent dans sa chair.
    Il grogne de plaisir au rythme de ma bouche, véritable démon de plaisir.

    Toi : Manue je ne vais pas tarder à venir si tu continues ainsi a t'il à peine la force de me susurrer ...
    Moi : je t'en prie viens, je veux sentir ta semence jaillir

    Laurent se déchaine alors, appuyant ses mains sur ma tête pour m'imprimer son rythme bestial.
    Je suffoque mais retrouve l'air à temps à chaque fois cependant.
    Sa queue est plus raide que jamais, ses râles se font plus sourds à mesure que son plaisir explose en lui.
    Un instant il se fige avant de m'enfoncer plus profondément sa queue dans la bouche.
    Je sens alors dans ma gorge couler un liquide chaud et épais qui m'inonde le gosier.
    Je me déconnecte de sa queue pour recueillir sur le menton, les dernières gouttes de sa jouissance.

    Laurent git sur le dos, repu et heureux de ce qui vient de lui arriver.
    Mais moi je reste sur ma faim !
    Je le serre tendrement contre moi ... couvrant son torse de baisers.
    Sa main se meut déjà vers mon antre qui est trempée de mouille.
    Il m'assied à califourchon sur ses cuisses, ne quittant pas sa position allongé sur le dos.
    Sa queue fait encore triste mine après nos ébats.
    Mais il en profite pour me palper les tétons avec entrain le bougre.
    Puis ses doigts, sans doute lassés de ce petit jeu, descendent à mon entrejambe.
    Il découvre que je suis entièrement mouillée là en bas et ça a l'air de lui redonner de l'ardeur.
    Je sens sa queue qui se raidit contre ma peau.
    Les hostilités sont de nouveau lancées !
    Ses doigts continuent de titiller mon clito qui exulte de plaisir.
    D'un ample mouvement de ses hanches il présente son gland devant ma fente d'amour et s'introduit lentement en moi.
    Je masque un grognement de satisfaction pure, maintenant je peux dire que je suis à lui ... enfin à lui !
    Nos corps s'accordent si bien dans cette danse charnelle !

    Je suis agrippée à lui, mes mains crispées sur ses hanches.
    Lui, un grand sourire sur son visage, continue de me fixer du regard.
    Mes seins lourds bougent en mesure aux coups de boutoir dont il m'honore avec ardeur.
    Trouvant cette position dépassée par nos élans, il se déconnecte de moi soudainement.
    Il me demande alors de me mettre à 4 pattes devant lui pour me pénétrer à nouveau.
    Ses mains s'accrochent à mes seins, il pèse de tout son poids dans mon dos.
    Je me sens chienne avec lui et accompagne ses coups de lime avec bonheur.
    Il alterne les rythmes au fur et à mesure que notre plaisir grandit.
    Je sens qu'il n'est pas loin de cracher son foutre en moi.
    Plaçant mes mains derrière moi contre son ventre je calme son rythme jusqu'à ce qu'il cesse de me pilonner.
    C'est moi à présent qui contrôle la cadence en allant et venant sur sa belle queue.
    Tant et si bien que je m'apprête à jouir tout bonnement.
    Je sens monter de mes entrailles les prémices de mon orgasme ravageur.
    A peine ai-je le temps de lui lancer dans un souffle rauque que je vais jouir que je le sens lui même venir en de longs jets de foutre chaud qui me portent aux nues.

    Me retournant alors vers lui il m'embrasse goulument pour clore nos ébats réussis.

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