• Dans les bois.

     

     L'air est lourd, la chaleur estivale pèse sur mes épaules comme une chappe de plomb.
    Je me suis libèrée cette après-midi pour parcourir les sentiers forestiers comme dans mon adolescence.
    L'air pur, boisé, entre dans mes poumons et je le savoure avec délectation.
    J'ai quitté le sentier principal et m'enfonce dans le sous bois que je connais depuis ma plus petite enfance.
    C'est là que je venais plus jeune m'évader, que je venais contempler les habitants aquatiques de cette petite mare qui me fait face.
    Le décor a quelque peu changé, la végétation est beaucoup plus florissante mais l'endroit m'est toujours familier.
    Je me tiens un peu en retrait du point d'eau, cachée dans les buissons quand j'aperçois un nouvel arrivant dans ce petit coin de paradis.
    C'est un jeune ado, il ne doit guère avoir plus de 18 ans.
    Sa carrure est athlétique et il sifflote un air inconnu.
    Que vient il faire là ?
    Oh le petit salopard ! Il pisse dans ma mare.
    De ma cachette je le vois, son engin en main, dessiner des arabesques qui claquent sur l'eau.
    Me révoltant je l'interpelle alors !

    Moi : Hey ! faut pas te gêner à pisser dans l'eau ! T'as pas idée des dégats que tu es entrain de faire ...
    Lui : Vous êtes garde forestier ? Non ? alors taisez vous et laissez moi pisser tranquille me répond il en se tournant vers moi et brandissant son sexe comme une arme ...
    Moi : oh tu ne me fais pas peur gamin !

    Il s'avance alors vers moi et s'arrete à un mètre à peine.
    Il a toujours le sexe dehors et le manipule négligeament en me regardant.
    Il a sans doute remarqué que du coin de l'oeil je ne manque aucun de ses gestes.

    Lui : On dirait qu'elle te plait ma queue, cochonne ! dit il avec un large sourire insolent.
    Tu ne voudrais pas venir me branler un peu ?
    Moi : Même pas en rêve gamin ! Traces ton chemin ...

    Je viens soudain de me rendre compte de la situation, je suis toute seule dans ces bois sans personne pour me secourir si le besoin s'en faisait ressentir ...
    Cette idée vient certainement de traverser l'esprit de ce jeune homme à voir sa réaction.
    Il me saisit la main et la pose sur son membre tendu.
    Comme brûlée par une flamme vive je la retire prestement en maugréant.
    Çà le fait bien rire cet insolent pervers.

    Lui : Soit ! Elle te fait peur ma queue ? Si tu ne veux pas y toucher au moins peux tu la regarder ...

    Il se campe alors devant moi, les jambes écartées, la tige en action.
    Je ne tiens pas plus de dix secondes avant que mon regard émoustillé ne se pose sur l'objet vivant qu'il m'offre en spectacle.
    Il a fait glisser son jeans à ses genoux et je remarque alors qu'il ne porte pas de sous vêtement.
    Sa queue n'est pas énorme mais bien épaisse à sa base.
    Ses couilles velues sont bien pleines et pendent lourdement sous son sexe.

    Lui : Laisses moi imaginer ta bouche sur ma queue ! Vois comme elle grossit à cette pensée mmmmm ...

    J'ai 51 ans mais je rougis alors comme une pucelle en constatant l'effet que j'ai sur cet homme en devenir.
    Je vois ses longs doigts jouer sur sa queue longuement, sa queue qui palpite.
    Son gland est large, bien décalotté et rouge vif.
    A son extrémité je peux voir une goutte de precum perler.
    Il me regarde fixement, tandis qu'il étale ce liquide jailli de lui sur sa queue.
    Il commence à gémir d'ailleurs, ça doit être délicieux cette branlette sauvage devant une inconnue ...

    Je m'assieds alors à ses pieds, captivée par le spectacle.
    Suivant mon mouvement, il s'agenouille devant moi, toujours la queue en main.
    S'enhardissant un peu, il se penche alors pour m'embrasser.
    Je détourne la tête juste à temps et ses lèvres se perdent sur ma joue.

    Lui : Laisses moi me branler entre tes seins s'il te plait ...

    Je m'aperçois alors, qu'en me mettant assise un bouton de mon décolleté s'est ouvert et a découvert mes deux globes laiteux.
    Je rougis de nouveau, il a du penser à de la provocation de ma part.
    Je ne peux toutefois m'empêcher d'essayer de me réajuster.
    C'est à ce moment là que le jeune homme en question me lâche un " non ne me cache pas cette vue sur tes gros seins qui m'excitent ", supplique qui me touche et m'interpelle.
    Alors, fuyant toute pensée raisonnable, je lui déballe ma poitrine sous ses yeux ravis.
    Ses mains s'en emparent immédiatement pour les palper, faisant échapper un gémissement de ma bouche.
    Il me pousse pour m'allonger sur le dos, ce que je fais sans rechigner.
    Déjà il est sur moi, sa queue érigée frottant sur mon short.
    Je sens parfaitement la dureté de son engin contre mon intimité recouverte.
    Sa bouche a pris la place de ses mains et il me dévore les tétons, durcis par cette caresse buccale divine.
    Toujours allongée sur l'herbe du sous-bois j'ai dressé mes jambes sur mes pieds et je le sens faire des mouvements de va et vient entre mes cuisses.
    Tout celà m'excite follement et je glisse une main à mon entrejambe pour saisir cette jolie queue vigoureuse.
    Sentant certainement le contact de mes doigts il se met à faire coulisser son braquemard avec fougue en râlant dans la paume de ma main hardie.
    Sa bouche toujours occupée à me sucer les seins, il cherche à présent mon clito de sa main droite.
    Mon short élastiqué à la taille ne résiste pas longtemps à sa recherche et c'est avec un cri que j'accueille ses doigts sur mon bouton d'amour.

    Lui : Ça te plait ma belle ... Nous allons jouir ensemble !

    Ses doigts fouillent ma fente humide et trouvent l'entrée de mon vagin qu'il explore de deux doigts, me faisant me tortilller de plus belle sous lui.
    Ce que je n'avais pas remarqué jusqu'alors c'est qu'un de ses amis s'était joint à notre baise sauvage.
    Celui-ci était nettement plus âgé et mieux membré quand je vis son énorme queue se présenter à ma bouche.
    Bloquée par le corps du jeune homme qui pesait de tout son poids sur le mien je ne pus refuser de saisir ce dard qui m'était tendu et violait ma bouche.
    Cette queue mi-molle se redressa bien vite au contact de ma cavité humide.
    Ses couilles qui étaient moites frappaient contre mon nez au fur et à mesure de sa pénétration mais il se moquait de ça totalement, pris dans la frénésie de cette baise.
    Il me tenait la tête de part et d'autre pour mieux s'enfoncer en moi.
    Je sentis qu'il allait jouir en sentant sa cadence se ralentir et je choisis ce moment pour le retirer de ma bouche.
    Ma main autour de son vit il vint dans mon cou en longues giclées chaudes.
    Ce lâcher de semence provoqua mon orgasme à moi aussi.
    Je saisis aussitôt la main du jeune homme qui me pilonnait encore car mon clito était devenu extra sensible après ma jouissance.
    Comprenant que je venais de jouir à mon tour, le jeune homme redoubla de vigueur dans ses mouvements de bassin et explosa à son tour sur mon ventre, me remplissant le nombril de son foutre épais et gluant.

    Sortis de notre torpeur sexuelle nous nous réajustâmes tous les trois.
    Nos regards, un instant complices , étaient à présent gênés.
    Sans un mot je repris alors ma ballade dans les bois, retournant le plus vite possible sur le sentier principal qui montait au parc zoologique un peu plus loin.
    Seule la tâche humide du sperme que j'avais reçu sur mon ventre au bas de mon chemisier et au col témoignait que ce qui venait de se passer n'était pas né de ma rêverie.

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