• Train couchette.

     

    Il est bientôt minuit, et dans ce train qui m'amène dans le sud du pays, je n'ai toujours pas sommeil.
    La petite taille de ce cette cabine-couchette que j'ai réservée m'oppresse.

     

    Train couchette.


    Ni une ni deux, je sors dans le couloir me dégourdir les jambes.
    Ma jupe ample pourtant me colle aux cuisse tant il fait chaud ici.

     

    Train couchette.


    Soudain je croise le regard taquin d'un homme à qui ma silhouette élancée semble plaire ... il faut dire qu'il n'est pas mal du tout dans son jeans !
    Un bonsoir poliment échangé et je continue mon chemin.
    Quelques mètres plus loin je constate qu'il m'a suivi et son regard se fait plus insistant encore.
    Il s'approche de moi et engage la conversation.
    Celà me distrait un peu, notre échange reste courtoix.
    Il avance à un moment sa main vers moi et me caresse légèrement le bras, tout en douceur.
    Dois je cèder à ses avances ? Je suis célibataire après tout et cet homme me plait par ses manières.

    Discrêtement je lui fais signe de me suivre et l'amène jusqu'à ma cabine.
    Il a l'air ravi, vu le sourire effronté qui s'affiche sur ses lèvres.
    A peine la porte de ma cabine refermée, le voilà qui prend le contrôle de le situation.
    Il me plaque contre le mur et s'aventure à m'embrasser goulument.

     

    Train couchette.


    Je réponds à son baiser impétueux avec fougue.
    Ses mains se posent sur mes fesses qu'il tripote allègrement.
    Moi, plus audacieuse encore, lui mets directement la paume de ma main droite sur son sexe que je devine à travers l'épaisseur de son jeans.


    Sa réaction ne se fait pas attendre puisqu'aussitôt il s'agrippe à ma jupe pour me l'ôter.
    Ma petite culotte, déjà trempée de cyprine, suit le même chemin quelques secondes plus tard à peine.
    Je garde mes talons pour rester à sa hauteur.
    Son jeans, qu'il a dégraffé, tombe sur ses genoux.

     

    Train couchette.


    Nos respirations se font haletantes, notre désir charnel se fait entendre.
    Il saisit à pleines mains mes seins dressés, en attente, et se met à les sucer, les mordiller avec passion.
    Soudain il me retourne, écrasant ma poitrine contre le mur.
    Ses doigts habiles jouent leur partition sur mon sexe, triturent mon clito sans relache.

     

    Train couchette.


    Des gémissements me montent à la gorge, l'excitation est à son comble.
    Jugeant alors que je suis certainement assez lubrifiée par toute cette mouille qui suinte de mon vagin en feu, il me pénêtre d'un coup sec.

     

    Train couchette.



    Alors commence la danse de l'amour, mes hanches suivant le rythme de son bassin.
    Ce rapport est bestial, emprunt de sauvagerie.
    N'ai je été consentente que tout cette mise en scène aurait pu être apparentée à un viol.
    Mais il ne s'agissait que de l'étreinte torride d'un couple d'inconnus qui faisait l'amour, qui baisait ...


    Il me fait chuter au sol sans se déconnecter de ma cavité intime et continue cette délicieuse levrette.

     

    Train couchette.


    Il commence à gémir lui aussi et ça me procure une sentation folle au creux des reins.
    Je vais au devant de ses coups de boutoir comme la chienne que je suis devenue pour lui.
    Il me malaxe durement les seins, insistant sur mes tétons qui sont tendus de désir.
    Ses coups de boutoir ralentissent, je le sens pas loin d'éjaculer.
    Il me demande timidement si je l'autorise à le faire en moi, ce que je lui concède, étant sous contraception.

    Changement de position, me voilà à présent sur le dos, jambes totalement ouvertes.
    Il m'embrasse à nouveau goulument.
    Je sens sa langue explorer l'interieur chaud de ma bouche, mmmmm quel délice que ce baiser passionné !

     

    Train couchette.



    Soudain il accèlère de nouveau ses mouvements de bassin et d'un regard suivi de longs gémissements m'indique qu'il va jouir.
    Mes gémissements à moi se font plus sonores, à tel point qu'il me baillonne de sa main restée libre, et, dans un dernier coup de boutoir je le sens exploser en moi.
    Je sens sa verge grossir avant de se libérer en longs jets puissants de son foutre épaix et visqueux.
    Dans un dernier soubressaut de sa part, alors qu'il se retire, un dernier jet vient s'écraser sur ma chatte repue.

     

    Train couchette.


    Il constate à mon sourire que moi aussi j'ai pris mon pied, et quel pied ! Un pur orgasme sauvage.
    Il s'allonge sur le dos à côté de moi et me lance en riant doucement : " au fait, je m'appelle Eric ! ".
    Je ne peux que lui répondre ne riant de la même façon : " moi c'est Manue ! enchantée ... ".

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