• Notre diner coquin.

     

    La musique jazzy berce le diner dans notre restaurant de prédilection, celui ou tu m'as invitée ce soir.
    Tu es là, assis face à moi, beau comme un Apollon dans cette chemise bleu-nuit que tu étrennes pour la première fois.
    Je te dévisage tout en mangeant, appréciant les traits de ta bouille de jeune homme à l'aurée de ses trente ans, visage qui se perd dans ta barbe soyeuse que j'adore.
    J'ai pris grand soin à me préparer pour ce diner, sans doute tenue par cette appréhension d'être vue en ta compagnie, vu le nombre d'années qui nous séparent ...
    J'ai mis cette petite jupe ample et légère qui me va si bien et que tu adores me voir porter.
    Mes longs cheveux bruns tombent sur le chemisier que tu m'as offert hier, chemisier de la même couleur que ta chemise d'ailleurs, dont le col entrouvert laisse deviner les formes généreuses de ma poitrine engoncée dans un ravissant soutien-gorge bordé de dentelle rouge.
    Mes jambes croisées sous la table sont gainées de bas noirs et retenus par un porte-jarretelles de la même teinte écarlate que mon soutien-gorge.
    Ma petite culotte dénote avec ma parure puiqu'elle est de couleur chair, avec cette petite fantaisie qu'elle est ouverte en son milieu et laisse respirer mon mont de Vénus sur lequel s'étend une petite toison bouclée de poils pubiens.
    Enfin, à mes pieds, je porte mes talons fétiches.
    J'ai bien senti que ma tenue te plaisait en voyant le regard que tu as posé sur moi quand nous sommes rentrés dans la salle du restaurant et en entendant les mots que tu as glissés à mon oreille discrètement " mmmm J'aime chérie ... ! ".
    Je me sens si bien avec toi, toi qui m'apporte une bouffée de jeunesse par ta présence à mes côtés ...

    Nos doigts se frôlent sur la table, nos regards ne se quittent pas une seconde.
    Notre discussion est légère, tu m'expliques les rouages de ton boulot avec la fraicheur due à ton âge.
    Moi je continue mon repas arrosé de vin blanc bien frais qui me monte légèrement à la tête.
    Notre dernière bouchée avalée tu fais discrètement signe de la main au serveur pour qu'il nous débarrasse et prenne la commande de notre dessert.
    Je devine ton regard toujours posé sur moi au dessus de la carte du menu.
    C'est alors, qu'un sourire coquin aux lèvres tu me fais signe d'approcher.
    Je te souris en retour sans me douter de ce que tu vas me dire.
    Tu me prends la main et me glisse à l'oreille d'une voix douce : " Chérie, tu veux me faire plaisir ? Vas te défaire de ta culotte aux toilettes et à ton retour tu me la glisseras dans la main ... dis ? tu veux bien faire ça pour moi ? ... "

    Je suis sidérée par sa demande ! vraiment !
    Je le connais assez coquin pour jouer ainsi mais je suis interloquée tout de même.
    Déjà que j'étais un brin effrayée à l'idée qu'il renouvelle nos ébats torrides de la veillle alors que nous prenions le café dans ce charmant salon de thé à côté de chez lui, il m'avait alors fait l'amour dans les toilettes de cet établissement alors que n'importe qui aurait pu nous surprendre ...

    Il hausse les sourcils, devinant sans doute à mon air surpris, que je me demande si je vais obéir à sa requête ...

    Moi : Excuses moi chéri, un instant ... je reviens !
    Lui : mais je t'en pris Manue ...

    Déjà je me lève et prends ce couloir qui mène aux lieux d'aisance.
    Ma démarche n'est pas assurée du tout tant cette demande est cocasse.
    Parvenue à l'abri d'une cabine je me défais de ma petite culotte et m'assieds sur le trône pour uriner.
    Ma culotte est déjà humide de ma cyprine, je me doute que ça va lui plaire ce petit cadeau ...
    Je me relève, m'essuie et cache ma culotte à la ceinture de ma jupe avant de me laver les mains.
    J'ai l'impression d'avoir réalisé un exploit en sortant des toilettes mais surtout cette idée obsédante que tout le monde me regarde et sait que je suis nue sous ma jupe à présent, tel cet homme qui doit approcher de la soixantaine et qui me jette un regard avide à mon passage près de sa table.
    J'approche enfin de Kévin qui sans mot dire me tend sa main ouverte.
    Je me rassieds en face de lui l'air taquin à mon tour.

    Moi : tu attends quelque chose chéri ? je lui glisse à voix basse presque inaudible ...
    Lui : Tu le sais très bien ma puce ... donnes moi la s'il te plait !

    Fourrant ma main discrètement sous ma ceinture j'attrape alors ma petite culotte toute chiffonnée que je lui pose dans sa main.
    Il est preste à refermer ses doigts sur l'objet de sa convoitise avant de humer profondément la fragrance qui s'en dégage.
    Ses narines palpitent à ce contact et je devine le genre d'idées qui doivent traverser son esprit à cet instant.
    Nous sommes interrompus par le retour du serveur qui nous apporte notre dessert glacé, une coupelle avec deux cuillères comme demandé par Kévin plus tôt.
    Du coin de l'oeil j'ai vu qu'il avait posé ma culotte sur son entrejambe gonflée de désir comme en témoigne la bosse qui s'est formée sous son pantalon.
    Je prends alors un malin plaisir à le provoquer en portant ma cuillère à mes lèvres, en lèchant délicatement son contenu glacé tout comme je m'appliquerais à le faire s'il s'agissait de son gland bien large et délicat.
    Au coin de ma bouche perle une goutte du dessert fondu qui le met en transe.
    Je rapproche ma chaise de la sienne et viens plaquer ma main droite sur son membre en érection sous la nappe.
    Kévin sursaute un peu mais apprécie ma caresse osée en plaquant sa main sur la mienne fortement.
    Je sens sous ma paume son rouleau de chair qui s'agite.
    Mes doigts déjà l'entourent et vont et viennent dans une danse indécente, mon pouce taquinant du bout de l'ongle ce que je devine être son gland.
    Kévin interrompt alors son geste de porter sa cuillère à sa bouche pour gémir doucement.
    M'enhardissant je le déboutonne complètement et me saisis de son sexe raide.
    Et doucement je me mets à te branler, scrutant du coin des yeux si quelqu'un nous observe.
    Justement, y a ce type proche de la soixantaine qui a ses yeux fixés sur nous.
    Par pure provocation de ma part, je soulève un bout de la nappe pour lui faire voir ce que je suis entrain de te faire subir.
    Inconsciemment il se lèche lui aussi les babines tout en farfouillant lui-même sous sa nappe.
    A son tour il me laisse voir ce qu'il est entrain de faire.
    Sa main est posée sur sa queue qu'il a bien épaisse.
    Il la secoue comme un shaker, ses yeux posés sur la queue de Kévin qui tressaute.
    L'Ancien ferme ses yeux un instant et éjacule soudain dans sa main.
    Je vois de ma place ce liquide gluant s'échapper entre ses doigts et s'étaler sur son jeans.
    Il me remercie d'un signe de la tête, heureux de cette délivrance jouissive.

    Kévin n'en est pas loin non plus, je le devine quand sa main empêche la mienne de continuer son branle.
    Discrètement il s'empare de la serviette posée sur son genou gauche en me priant à voix basse de reprendre mon jeu sur sa queue gonflée.
    Ni une, ni deux, je reprends cette masturbation sauvage en y mettant tout mon coeur et en lui murmurant quantité de choses salaces à l'oreille.
    Lui regarde ma main s'agiter sur sa queue jusqu'à ce que son orgasme arrive.
    Je ralentis alors mon mouvement et le laisse exploser entre mes doigts.
    Son éjaculation est abondante, ses jets sont puissants et tâchent sa chemise malgré sa serviette.
    Il me remercie d'un long baiser passionné pour ce plaisir que je viens de lui prodiguer.
    Ma petite culotte chiffonnée est pleine de son foutre ce qui le fait rire sur le coup.
    Vite il la range au fond de sa poche, triomphant.

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