• Garde à vous ! Repos ...

     

    Il faisait très chaud ce jour là du côté de Metz, le soleil de ce mois de juillet était ardent et transperçait de ses flèches la peau des promeneurs de la place de la République.
    J'avais mis ce jour là des vêtements en conséquence, un petit haut sexy, col en v, et une petite jupette qui laissait deviner le galbe de mon fessier ferme de sportive aguérie.
    J'étais bien, j'étais heureuse dans ma contemplation du monde qui défilait sous mes yeux.
    J'étais impatiente car j'avais rencard avec un homme charmant dont j'avais fait la connaissance sur internet.

    Fred est son nom, un homme respectueux et charmant au demeurant.
    Ça fait maintenant 6 mois que nous tchatons en toute convivialité sur ce forum destiné aux rencontres amicales et + si affinités.
    Pour ma part, affinité il y a, je me sens si seule, sans famille proche à qui parler.
    Et je pense que je lui ai tapé dans l'oeil aussi :)
    C'est au moins la vingtième fois que je consulte ma montre pour ne pas rater notre rendez-vous.
    Ça va, j'ai encore une dizaine de minutes jusqu'au café où nous devons nous rencontrer.
    Me voici enfin arrivée à la terrasse où je le vois siroter sa bière.

    Moi : Bonjour Fred ? ça va ?
    Lui : Ah bonjour Manue, content de te voir enfin ! avec un large sourire comme accueil.

    Je prends place à ses côtés, je suis nerveuse ( mon Dieu quel beau gaillard que voilà ! ).
    Son regard chaussé d'une paire de lunettes de soleil semble me scruter, imprimant dans sa tête tous les détails de ma silhouette.
    Pour me donner une contenance je commande à mon tour une boisson, une crème de whisky bien fraiche.
    Nous sirotons nos verres tranquillement, nous laissant caresser par cette chaleur qui nous entoure.
    Notre discussion au préalable timide prend un brin de consistance, enfin, une fois notre petite gêne passée.
    Puis nous en venons à la véritable raison de notre rencontre, nos affinités réelles.

    Lui : Que dirais tu de voir où je vis en ce moment ? Ce n'est pas très loin d'ici et nous pouvons y aller à pieds tranquillement

    Voilà on y est ! Un peu de courage Manue ! Tu es venue pour juger si une histoire en dehors de la toile avec lui était possible après tout.

    Moi : Bah pourquoi pas ? Rassure moi je n'ai rien à craindre ? dis-je en riant mais avec la peur au ventre quand-même.

    Lui : T'inquiête, tu es en sécurité avec moi. Tu en jugeras sur place me lance t'il en riant.

    Aussitôt il appelle le serveur et rêgle nos consommations avant même que je n'ai eu le temps de sortir mon porte-monnaie.
    Et nous partons après que je l'ai remercié.
    Nous cheminons tranquillement côte à côte à travers les rues de Metz, le trajet est court comme il me l'a dit.
    Quelle n'est pas ma surprise quand je le vois s'engager par la porte d'une grandiose caserne où il est salué par le militaire de garde.
    Impressionnée je le suis timidement, je me sens gauche et comprends enfin la chose : il m'avait bien confié qu'il faisait carrière dans l'armée ! Mais que je suis bête ...

    Nous arrivons enfin devant une porte qui semble être celle de son studio.
    Je vois sa main légèrement trembler alors qu'il se saisit de son trousseau de clé pour l'ouvrir.
    Il m'invite à entrer, me cèdant le passage.
    C'est joliment décoré mais on peut sentir que cette décoration est purement celle de la main d'un homme, maniaque de surcroit vu l'état des lieux.
    Je prends place sur le grand canapé de sa partie salon où trône un magnifique écran plasma de belle taille.
    Il s'affaire en cuisine et viens s'assoir juste à côté de moi, deux tasses de café à la main.
    Profitant de me donner l'une des tasses il me saisit la main.
    Celle-ci est chaude et quelque peu caleuse mais la sensation qu'elle me procure me fait monter le rose aux joues.

    Lui : Tu sais que tu es ravissante Manue ? et que tu me plais beaucoup ...
    Moi : Je dois te le confesser, tu es très attirant aussi Fred ( dis je en rougissant encore plus ).

    Sans que je ne m'y attende il s'avance alors vers moi et doucement dépose un doux baiser sur mes lèvres.
    Hésitante mais toutefois résolue à ne pas jouer ma prude je réponds à son baiser avec fougue, pointant ma langue dans sa bouche avec un délice non feint.
    Aussitôt il s'enhardi et à son tour introduit sa langue.
    Nous restons un long moment à nous étreindre, ses lèvres douces se perdant sur mes joues, mon cou et à la naissance de mon décolleté chaste.
    D'un geste il me prend dans ses bras musclés et m'allonge sur son canapé, prenant garde à ne pas m'écraser de tout son poids d'athlète.
    Ses mains tout à l'heure si sages me pétrissent tout le corps avec douceur et tendresse.
    Je sens que mes barrières tombent les unes après les autres.
    D'un regard, sans même prononcer un mot, il me demande ma permission d'aller plus avant.
    J'ai la gorge nouée mais trouve la force de dire oui à sa supplique.
    A peine mon " oui " prononcé, sa main remonte sous ma jupe et caresse mon sexe par dessus le tissu de mon string.
    Je devine à la bosse qui apparait dans son pantalon que son excitation est réelle.
    Prenant mon courage à deux mains, je libère l'objet de mon désir de sa cachette en tissu, sous les râles de plaisir de Fred.
    Délicatement de deux doigts, il fait glisser mon string à terre, le humant avec délice au passage, se débarrassant par la même occasion de son pantalon devenu gênant dans ce moment d'intimité.

    Il prend alors dans sa bouche mon gros orteil, m'envoyant de l'électricité dans tout le corps, puis remonte le long de mes jambes avec ses lèvres.
    Mes cuisses s'entrouvrent d'elles-mêmes, dévoilant ma chatte avide de caresses intimes.

    Lui : Bon sang que tu es belle, que tu es excitante ! ( clame t'il dans un soupir ).
    Je l'embrasse aussitôt en guise de remerciement.

    Sa langue s'insinue entre mes lèvres vaginales qu'elle caresse au passage et atteint enfin mon bouton d'amour qui est tendu par toutes ces émotions qu'il me fait vivre.
    Il effectue de petits ronds sur lui avec amour et toujours la même douceur, ce que j'apprécie fortement.
    Un courant electrique me parcourt le corps de la tête aux pieds, à cette allure je ne vais pas tenir bien longtemps.
    Sentant ma jouissance proche, j'appuie de mes deux mains sur sa tête, accentuant le contact de cette bouche gourmande mais divine sur ma chatte.
    Comprenant sans doute que je suis sur le point de jouir, il renforce sa succion de mon clito exacerbé.
    Un spasme puissant monte en moi, prenant naissance dans mes entrailles et me laissant inerte et tremblante quelques secondes.

    Moi : Je jouiiiiiiiiiiiii, je jouiiiiiiiiiii Fred, que c'est bonnnnnnn ...

    Il relève la tête, un sourire ravageur planté sur ses lèvres, le menton et la pointe de son nez barbouillés de ma mouille.
    Dicrêtement, d'un revers de sa main, il s'essuie.

    Lui : Pas la peine de te demandé si mon petit cunni t'as plu ? me dit il en riant, l'air guilleret.

    Mon sourire lui suffit comme réponse.

    Je regarde alors le sexe de Fred, dressé, fier, en attente qu'on le libère certainement de tout son foutre.
    Fred me sourit, les mots entre nous sont devenus inutiles à présent.
    A mon sourire effronté je pense qu'il a deviné l'idée que j'avais en tête.
    Il se lève lentement du canapé et me tend ses mains pour m'inciter à me lever.

    Lui : Mon lit nous attend, allez hop demoiselle ! Et brusquement il me soulève dans ses bras balaises et m'emporte quelques mètres plus loin, derrière un rideau rouge-sang.

    Rétablie sur mes pieds il ne me laisse aucun répit et me ressaisit dans ses bras. Il monte mon bassin assez haut sur sa taille afin que je m'empale direct sur sa queue en redescendant.
    Je sens alors avec délice son braquemart s'enfoncer lentement dans mon vagin, caressant mon clitoris charnu en passant.

    Aussi sec il se met à me labourer en rythme avec de puissants coups de reins, moi accrochée à lui, mes jambes enserrant sa taille.
    Nous en profitons pour échanger des baisers passionnés pour lesquels nos langues se mêlent avec la même vigueur que son bassin.
    Je ne suis pas en reste et m'applique à aller au devant de ses coups de queue impétueux.
    Il alterne la force de sa profonde pénétration, ralentissant puis accélérant ses coups, guettant mon visage pour y lire les sensations qui me traversent et me ravagent. Ses grognements, ses gémissements se font plus forts, il se demande sans doute combien de temps il va encore pouvoir tenir à ce rythme effrené.

    Je lui indique du coin de l'oeil sa commode sur laquelle ne traine aucun objet.
    Il me comprend de suite en m'y déposant, toujours soudé à moi.
    Quelques baisers encore et notre danse rythmique reprend.
    Je suis émotionnellement épuisée mais ravie de ce moment qui se passe entre nous.
    Je lui agrippe les hanches, proche de l'extase finale.
    Fred me sourit avec passion, une lueur magique au coin des yeux.

    Nous rêglons notre cadence, lui s'enfonçant encore plus profond en moi, je le sens bien, large et gros dans mon vagin qui est sur le point d'exulter.
    Comprenant à mon regard perdu que le moment est venu de décharger sa semence divine, dans un grognement sourd monté du plus profond de son être, il éjacule enfin son foutre chaud en moi, moi qui me tord de plaisir entre ses bras, les muscles de mon vagin se raidissant pour ne pas le laisser sortir.
    Pourtant je le sens lentement changer de consistance et diminuer en épaisseur, embrassant mon clitoris et ma vulve en s'échappant enfin.
    Un filet de sperme s'écoule de mon entrejambe alors que je me redresse, le dos rompu par cette gym charnelle. Fred masse son dos endolori en me souriant.

    " Quel pied ! " prononçons nous au même instant, en riant à gorge déployée.
    Vive nous ! vive la Moselle ! Et vive Fred !

  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires de cet article


    Vous devez être connecté pour commenter