• Grandioses retrouvailles.

     

    Ça fait maintenant près de 10 jours que je n'ai pas vu mon Kévin chéri, parti en déplacement professionnel à l'autre bout de la France.
    Je me languis de lui comme pas possible, ses caresses manquent à mon corps un peu plus chaque jour qui passe.
    La sonnerie de mon portable retentit soudain, coupant cours à ma douce rêverie.
    C'est mon bébé qui m'envoie un texto enflammé.
    Encore un nouveau jeu coquin de sa part, je le comprends vite en relisant ses mots.
    " Rendez-vous ce soir, 21 heures, à mon hôtel, chambre 612, bandes toi les yeux avant d'entrer s'il te plait, tu me manques et j'ai trop envie de toi chérie ! "

    J'imagine déjà le plaisir qui sera le mien à le retrouver après cette absence qui n'a que trop duré.
    Les heures qui me séparent de lui passent difficilement, comme si la terre s'était liguée contre nous.
    19 heures enfin sonnent à la pendule, il est grand temps pour moi de me préparer.
    Ma tenue est déjà prête sur mon lit, ne me reste qu'à prendre une bonne douche.
    Je file enfin sous ma douchette, savourant le déluge d'eau tiède qui baigne mon corps sous la senteur vanillée de mon gel-douche.
    Enfin sèche, j'enfile un à un mes vêtements, tout en me remémorant ce dernier diner ou nous nous étions laissés allé coquinement en pleine salle de restaurant, tout en restant discrets bien sur.
    Je remets sur moi cette même petite culotte témoin de nos ébats de ce soir là, enfile un collant noir par dessus.
    Ma jupe droite noire en strech épouse mes courbes voluptueuses, sur celle-ci je n'enfile qu'un petit haut moulant écru, décidant de me passer de soutien-gorge pour une fois.
    Je veux que ces retrouvailles soient torrides !
    Une veste longue légère couvre le tout alors que j'enfile mes escarpins.
    20h30 il me faut me dépècher pour mon rendez-vous. Ça devrait le faire ...

    21h05 à ma montre, je suis devant la porte de sa chambre, enfin !
    Juste le temps de mettre sur mes yeux mon bandeau noir de nuit et je frappe à cette porte, mon coeur battant la chamade.
    Je ne vois plus rien et celà m'excite déjà ...
    Le souffle de la porte qu'on ouvre ... une main qui prend la mienne et m'attire ... et enfin ses lèvres qui se posent sur mes lèvres avec passion.

    Les questions se bousculent dans ma tête mais tu les fais taire en me posant ton index sur la bouche, m'intimant le silence.
    Me prenant la main tu m'entraines déjà plus loin dans ta chambre, me retirant au passage chacun de mes vêtements ...
    J'imagine ton regard se posant sur moi quand tu découvres ma poitrine nue, j'entends alors un râle profond sortir de ta bouche.
    Mes pas ne sont pas assurés du tout vu que je ne vois rien mais j'entends clairement un filet d'eau couler près de moi.
    Le carrelage sous mes pieds nus m'indique que nous devons nous trouver dans ta salle de bain.
    Soudain tu m'attrappes les poignets pour me les lier à l'aide d'un bandeau.
    Je me révolte un peu mais tu me calmes d'une envolée de baisers partout sur mon corps tout en me poussant sous l'eau de ta douche.
    Je me plaque le dos au mur en attente de la suite, suite qui se fait attendre ...
    Je reste là, offerte à ton supplice sans savoir ce que tu fais dans l'instant.
    Les battements de mon coeur sont désordonnés, je me sens perdue les yeux aveuglés ainsi mais mes oreilles, elles, perçoivent le moindre bruit, la moindre respiration qui s'emballe.
    Mes idées vont et viennent bercées par une douce folie, je te veux cruellement bb, je devine ton corps aux aguets, prêt à sauter sur moi.
    Mais toujours rien, si ce n'est ce discrèt clapotis qui m'indique que tu te branles certainement en m'observant avec ton avidité coutumière.
    Enfin tu mets fin à mon attente en posant tes mains sur mon corps, caressant langoureusement mes courbes généreuses, prenant rudement mes seins en main pour en glisser le téton jusqu'à ta bouche.
    Je me mets alors à gémir de plus belle, ma chatte déjà dégoulinante de plaisir appelant ta queue ...

    Elle est trempée comme me l'indiquent les deux doigts que je viens de glisser doucement en elle, doigts que je m'empresse de lècher comme une goulue.

    " J'ai faim de toi bb ! " te dis je alors dans une supplique murmurée.

    Tu saisis cette occasion ou ma bouche s'est entrouverte pour y glisser ta langue que je m'empresse de dévorer avec passion.
    S'ensuit un des baisers les plus savoureux qu'il soit ou nos souffles se mêlent intimement tandis que je te ceinture le cou de mes bras attachés.
    Tes lèvres descendent enfin sur ma poitrine qui se cabre, descendent encore plus bas sur mon ventre offert, survolent mon entrejambe et finissent par m'embrasser l'interieur des cuisses.
    Je ne suis plus que plaisir ravageur, plaisir partagé à en constater la pression de ton sexe plaqué contre ma hanche droite.
    J'essaie de l'attraper mais tu le retires au moment ou mes mains allaient juste le saisir ...

    "" Sois maudit bb ! " te dis je alors sans vraiment le penser.

    Ma frustration est à son paroxysme !
    Je ne sens plus que l'eau de la douche ruisseler sur mon corps et je maudis le fait que tu te sois mis hors d'atteinte.
    Je porte mes mains liées en avant, espérant toucher ta peau mais rien ...
    Tu me laisses à nouveau dans l'expectative.
    Des larmes pleines de frustration perlent au coin de mes yeux bandés, mais tu ne les vois pas, moi je les sens imbiber le tissu de mon bandeau.
    L'âme en peine je me décide enfin à réagir à ce cruel jeu que tu m'as imposé.
    A tatons je cherche à m'échapper de cette salle d'eau ou tu m'as entrainée, me maudissant d'avoir succombé à ton appel sans me rebeller, te maudissant une fois de plus de me jouer ce vilain tour.
    Je suis perdue quoique fortement excitée par ces retrouvaillles que je m'imaginais grandioses.
    Mon impatience à ne faire qu'un avec toi aura eu raison de moi.
    Je trouve enfin, non sans mal, au bout d'interminables minutes, le chemin de la sortie de cette pièce.
    Me croyant enfin libre de mes mouvements, alors que je m'apprête à ôter ce bandeau qui m'aveugle depuis mon entrée dans ta chambre d'hôtel, tes mains brutalement, par surprise, me plaquent ventre au mur.
    Je te sens dans mon dos, étroitement serré contre moi, ta queue raide et, impatiente de me pourfendre, plaquée dans mon sillon fessier rebondi.

    Moi : Ah quand même tu t'es enfin décidé à t'occuper de moi ! Il était temps ! te dis je d'une voix pleine de hargne.

    Je perçois ton rire sadique à peine ai je prononcé ces paroles rageuses.
    Tu me soulèves une jambe et, aussitôt après, je sens ta queue se frayer un chemin dans mes entrailles qui s'entrouvrent d'elles-même.
    Ma chatte se fait accueillante et soumise à cette pénétration ardemment désirée, mon corps se cabre automatiquement tandis que mon dos se creuse pour absorber ton dard brûlant.
    Tu domines cet instant suave ou je suis à ta merci totale, vulnérable à souhait.
    Je savoure néanmoins ce moment ou je sens ta queue bien large me pénétrer lentement, centimètre par centimètre, écartant les parois de mon vagin en ébullition.
    Je gémis de plus belle en te priant de me baiser.
    J'accompagne tes mouvements de pilon de mes fesses, écrasant mes seins durs contre le mur.
    Tout n'est plus que gémissements et râles de plaisir autour de nous.
    Sans te dégager de mon intimité tu me pousses un mètre plus loin et me bascule le ventre sur le lit, pour continuer à me prendre en levrette.
    Tu ressorts un instant ton sexe de moi pour calmer ton excitation sans doute et j'en profite pour retirer discrètement mon bandeau.
    Je te devine dans mon dos, haletant, chaud comme la braise.
    Je sens couler sur mon anus un liquide visqueux, n'osant croire que tu en as déjà terminé ...
    Grosse erreur de ma part !
    Sans mot dire et sans me l'avoir demandé, tu frottes alors ton gros gland sur mon anus et je devine alors que tu viens juste de me verser du lubrifiant sur mon petit trou.
    Tu t'obstines encore une fois à m'imposer une pénétration anale ! salaud !
    Tu sais pourtant bien que je m'y refuse toujours !
    Déjà ton gland besogne mon anus qui a du mal à se dilater.

    Moi : Kévin ! non ! je ne veux pas ! te dis je en protestant vivement.
    Tu regardes trop de pornos bb !
    Ça me fait juste un mal de chien ! ah si j'avais su ... je ne serai certainement pas venue te retrouver !

    Avec un énorme soupir de déplaisir tu te retires enfin pour reprendre le chemin de ma chatte que tu pourfends d'un coup de hanches assez brusque qui me fait pousser un cri de douleur mêlé à ma surprise.
    Tu me pilonnes trop fort, bb, te vengeant ainsi de ce rapport anal que je te refuses, toi qui en a tant envie apparemment.
    Le sminutes passent puis peu à peu tu te radoucis, je le sens, tes mains ont lâché mes hanches que tu tenais fortement tandis que tu me baisais si sauvagement, elles caressent à présent mon dos avec cette grande douceur qui m'est si familière de ta part.
    Je te retrouve enfin Kévin ... et j'aime te sentir si amoureux, si passionné.
    C'est ton doigt que je sens maintenant sur mon petit trou, ton index qui doucement me dilate cet endroit de mon anatomie.
    Tu fais ça avec une grande douceur, allant et venant d'une phalange glissée dans mon intestin qui se rebelle un peu moins tant ta caresse est bien menée et douce.
    Je dois te l'avouer, j'y prends même un certain plaisir à te sentir aller et venir en moi ainsi.
    Le plaisir en monte encore d'un cran, tandis que tu me besognes encore à grands coups de reins.
    Un courant élèctrique, annonciateur de mon orgasme qui se profile, remonte le long de mon bassin, me parcourt la colonne vertébrale, je sens que je vais jouir bb et te le dis dans un cri.
    Ton index se glisse sur mon clitoris alors, tout naturellement, pour y dessiner ces arabesques de plaisir.
    Je gémis longuement sous tes coups de boutoir qui se sont légèrement ralentis car tu es proche de la jouissance toi aussi comme je le devine.

    Kévin : Je vais jouir en toi ma chérie ! me dis tu de ta voix rauque en haletant. Laisses toi aller aussi bb ... jouissons ensemble ma belle ...

    A entendre ses mots chargés de tension sexuelle, j'accueille en moi cette délivrance désirée, me laissant envaillir par les spasmes de mon orgasme que je salue en criant.
    Kévin choisit cet instant pour plonger profondément sa large queue dans ma chatte et y libérer son foutre chaud, semence épaisse dont je sens chaque jet puissant heurter mes parois vaginales avec un délice inoui.
    Epuisé par tant d'efforts, il s'affale de tout son poids contre moi.
    Je me dégage en le faisant rouler sur le dos.
    Il me sourit de toutes ses dents, quel amant passionné j'ai trouvé là !
    M'allongeant à plat ventre contre lui, qui a déjà les yeux clos, je le réveille afin qu'il me libère de mes liens aux poignets.
    En riant il me détache et me prend tout contre lui, dans l'étreinte de ses bras, tout en me caressant langoureusement le dos et me murmurant de jolies choses à l'oreille.
    Me redressant légèrement, je tire sur nous le dessus de lit avant de me saisir des deux oreillers un peu plus loin.
    J'en câle un sous la tête de mon amant avant de poser la mienne sur le second.
    Je suis bien câlée entre ses bras maintenant, lui dépose un baiser sur la joue et mon désir enfin assouvi, pleinement heureuse, je m'endors à mon tour.
    Grandioses retrouvailles, comme je l'avais espéré !!!

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