• Toi et moi en moto, accord parfait, journée délicieuse.

     

    Il faisait un temps idéal pour une ballade en moto.
    Laurent, mon Lolo, était venu me chercher ce matin là de juillet, pour me faire chevaucher sa Yamaha YZF 1000 thunderace, un bel engin racé.
    Je m'étais habillée en circonstances, des espadrilles bleues assorties à la couleur de mon seyant legging court, ma brassière de sport sous un joli petit haut bleu turquoise à manches courtes bordé de dentelle.
    Par dessus tout ça une veste en jeans qui ne me quittait quasiment jamais.
    Celà faisait un mois à peine que je connaissais Laurent, un homme qui me plaisait follement.
    Nous ne nous connaissions pas encore charnellement, nous prenions le temps de nous découvrir avant de concrêtiser notre relation, n'échangeant que des baisers langoureux et des caresses assez chastes.
    Lui était un fan de virées en moto mais pas un fou du volant à ce qu'il m'avait dit.
    C'est donc sereine que je pris place sur l'engin derrière lui, après avoir enfilé mon casque.
    La moto se mit à vrombir, me donnant des frissons dasn tout le corps, je resserrais alors mes bras autour de sa taille.
    Il tourna la tête vers moi et je suppose qu'il devait me sourire à travers son casque.
    J'étais bienheureuse ainsi collée dans son dos.

    Laurent démarra alors et nous partimes pour cette ballade par une chaude journée ensoleillée.

    Je regardais avec un plaisir non dissimulé ces paysages qui défilaient autour de moi, remarquant des détails que je n'avais plus l'habitude de voir.
    Le ciel bleu azur nous regardait filer sur ces routes de campagne, le coeur léger.
    De temps à autre Lolo arrêtait sa bécane et nous faisions une pause tous les deux, main dans la main.
    Il serrait fort la mienne et son sourire en disait long sur le plaisir qui était le sien à se trouver en ma compagnie.
    Négligemment je lui caressais le dos de la main gauche de mon pouce, emportée par mes douces rêveries d'amour.

    Midi approchant nous décidâmes de nous trouver un petit coin sympa pour y poser notre couverture de pique-nique.
    J'avais amené avec moi un panier rempli de délicieux sandwichs préparés le matin même, de tomates juteuses et de fruits, sans oublier ce petit vin blanc que j'avais déniché à la superette près de chez moi.
    Nous avisâmes un pré retiré en bordure d'une forêt, à l'abri des regards.
    Laurent me l'indiqua de la main et le pouce levé en signe d'accord nous nous arrêtames enfin.
    La place était jolie, à l'ombre de ce soleil brûlant, sous un énorme chêne.
    Débarrassés de nos casques, les cheveux mouillés de sueur, nous déballâmes nos provisions en discutant gaiement ...
    Lolo n'était pas avare en paroles et notre discussion allait bon train.
    Nous échangions des anecdotes sur nos vies, comme des amis de longue date, discussion ponctuée de nos nombreux rires.
    Que cette journée était belle !

    Je remarquais quand-même alors que mon Lolo n'avait pas touché à son sandwich, se contentant de siroter son verre de vin.
    Ses yeux me fixaient avec amour, il était perdu dans ses pensées certainement ...
    Une drôle de sensation me parcourut l'échine.
    Son regard semblait me dire " Je te veux ! "
    Je lui souris en retour, lui touchant la main du bout de mes doigts.
    Il esquissa un sourire et prit ma main doucement dans la sienne.
    Il l'a posa sur son coeur et je le sentis alors battre très fort.
    Je bus une gorgée de vien, manquant subitement de m'étouffer avec.
    Je m'approchais de lui et lui touchais le visage, mes doigts frôlant sa joue avec tendresse.
    Il baisa mes doigts et pausa la paume de ma main sur sa bouche.
    Comprenant cette invite silencieuse je m'approchais de lui et posais mes lèvres délicatement sur les siennes.
    Nos langues se chèrchèrent un peu et nous échangeâmes un long baiser passionné qui nous laissa sans souffle.
    Déjà ses mains découvraient ma poitrine généreuse.
    Il avait rentré sa main droite sous ma brassière et soupesait mon sein lourd en me souriant.

    Laurent : Pfiouuu j'ai chaud ma puce !
    Moi : Moi aussi chou ! répondis-je en ôtant mon haut d'un geste preste.

    Je savais alors sans en avoir vraiment conscience que ce déshabillage allait provoquer des choses.
    Je vis briller une lueur étrange dans ses yeux, faite de passion et d'une autre émotion indéfinissable alors.
    Se mettant à l'aise lui aussi il retira son tee-shirt noir, laissant apparaitre un torse large que je trouvais sublime.

    Laurent : Regarde puce, j'ai les tétons qui pointent me dit il dans un rire.
    Moi : Ah bon ? pas moi !

    Il remédia bien vite à la chose en frottant le bout de son index sur les miens qui se mirent à durcir à travers le tissu de ma brassière.
    Je laissais échapper un gémissement de plaisir.
    Celà sembla le ravir et il se jeta sur moi pour m'embrasser.
    Je lui rendis son baiser, dévorant sa bouche, mes mains parcourant son torse sous toutes les coutûres.
    Il m'allongea sur le dos et me recouvrit de son corps.
    Ses lèvres glissèrent sur les miennes pour se perdre dans mon décolleté ensuite.
    Tout ce qui se passait alentours n'avait plus aucune importance, à l'instant je ne vivais, ne respirais plus que pour lui ...
    Je goutais à mon tour sa peau si chaude, m'ennivrais de son odeur d'homme.
    Je m'en emplissais les poumons, faisant remonter automatiquement les globes de mes seins sous ma brassière opressante.
    En un tournemain j'enlevais cette barrière, provocant un râle guttural chez mon Lolo.
    Mes seins étaient lourds de désir, leurs tétons durs à m'en faire mal.
    Lolo les pris de suite en bouche, glissant une main à mon entrejambe.
    Mon vagin se contractait déjà, lentement.
    Ma vulve humide réagissait à sa caresse appuyée à travers le tissu de mon legging.
    D'une main preste que j'enfilais sous la taille de mon pantalon, je le fis glisser le long de mes jambes.
    Laurent ferma un instant les yeux, les narines frémissantes au moment ou mes cuisses s'entrouvrirent.
    Il avait certainement senti l'odeur discrête de mon intimité ainsi exposée à l'air libre.
    Le moment de notre rencontre charnelle était en fin là.

    Moi : Mon Dieu ce qu'il fait chaud !
    Laurent : trop chaud en effet mais il n y a pas que le soleil qui est en cause ! me dit il en riant
    Vois dans quel état tu m'a mis rajouta t il en me pointant du doigt son entrejambe déformée par une grosse bosse témoignant de son excitation.
    Moi : Mets toi à l'aise chéri ...

    Laurent retira alors son short en jeans à ma plus grande satisfaction.
    Si vous aviez vu son sourire et sa mine réjouie à cet instant !
    Il se rallongea aussitôt à mes côtés et reprit le chemin vers mon intimité.
    Ses doigts écartèrent ma petite culotte, dévoilant à sa vue ma vulve humide.
    Depuis le temps que j'en rêvais de ce moment là ...
    Il y glissa un doigt, puis deux, me pénétrant avec douceur.
    Me petites lèvres s'étaient écartées sans problème tant je mouillais déjà, et mon vagin se contracta puis laissa le passage ouvert.
    S'ensuivit un moment de délices, mêlé à mes gémissements sourds.
    Celà motiva Laurent à poser ses lèvres juste au dessus de ses doigts qui s'affairaient à me donner du plaisir.
    Je fondis quand je sentis le contact de cette bouche gourmande qui m'aspirait le clito, me le mangeait, me le lèchais.
    Mes mains se baladaient sur son large torse, mes doigts glissaient dans ses poils.

    Moi : je ne vais pas tarder à jouir Lolo, prends moi s'il te plait ...

    Laurent exauça alors mon voeu en sortant sa queue de son boxer.
    Elle était déjà de belle taille mais il la stimula encore de sa main en quelques va et vient.
    La jugeant assez raide il la présenta à mon entrejambe déjà préparée.
    Il frotta longuement son gland contre ma vulve tandis que j'écartais les cuisses dans une pose impudique.
    Mes mains étaient remontées sur ma poitrine que je malaxais avec la passion qui me dévorait les entrailles.
    Soudain je sentis avec délice sa queue glisser en moi.
    Il le fit avec un râle sourd qui me fit monter encore la tension.
    Sentant ma jouissance sur le point d'arriver je me mis à bouger frénétiquement mon bassin sur sa queue.
    Ça le stimula à accélérer ses propres mouvements avec application.
    Il me releva les jambes contre son torse et, à genoux, me besogna profondément.
    Je sentis l'orgasme monter dans mes entrailles et me lachais dans un cri sonore.
    Laurent m'agrippa les seins, donna encore 3 coups de verge et explosa en moi.
    Je l'attirais vivement à moi pour lui planter un baiser sur les lèvres.
    Il resta allongé sur moi un instant, sa queue sortant progressivement de ma chatte, sans la retirer de lui-même.

    Laurent : Je t'aime Manue ! si tu savais à quel point ...
    Moi : j'ai vu ça Lolo chéri ! lui répondis je avec un clin d'oeil complice.

    Cet épisode torride lui avait ouvert l'appétit apparemment.
    Il dévorait à présent son sandwich.
    Moi je me rhabillais avant de me saisir d'une grappe de raisin que je mangeais avec délice.
    Notre frugal repas terminé nous nous couchâmes dans les bras l'un de l'autre pour un petit somme réparateur et bienvenu.

    Quelle bonne sieste !
    Revigorés nous avons mis les restes du repas dans ma sacoche avant de nous diriger d'un pas nonchalant vers la moto garée un peu plus loin, à l'ombre toujours.
    Alors que je m'affairais à ranger le sac repas sur l'arrière du siège pour l'arrimer avec des tendeurs, je sentis les mains de mon Lolo se poser sur mes épaules.
    Elle descendirent ensuite le long de mon dos dans une voluptueuse caresse avant de remonter sur mon ventre.
    Il me serra fort contre lui en me mordillant le lobe de l'oreille ce qui me chavira.
    Il me confia alors son envie de me faire l'amour à nouveau.
    J'accèdais avec grand plaisir à cette requête savoureuse, ôtant mon legging et ma culotte avec rapidité, non sans avoir vérifié au préalable qu'aucun oeil indiscrêt ne nous observait.

    Laurent ouvrit la braguette de son jeans et sortit sa queue pour m'honorer.
    Il m'inclina en avant sur le siège de sa Yamaha et frotta son vit le long de mon sillon fessier.
    Il s'arrêta au niveau de mon petit trou mais ma protestation lui indiqua qu'il n'était pas le bienvenu à cet endroit.
    Il émit un grognement de dépit sans doute mais trouva bien vite le chemin de mon vagin palpitant.
    De ses bras puissants il me leva la jambe gauche sur le siège où je la repliais.
    Ses larges mains épousaient mes seins étroitement, en les malaxant avec ardeur.
    De la main droite je pris alors son sexe pour le présenter entre mes jambes ainsi écartées.
    Il s'introduisit lentement regardant sa verge disparaitre en moi, cherchant ma bouche que je lui donnais volontiers pour un baiser passionné comme nos échanges.
    1er va et vient où je sentis et entendis ses couilles frapper contre mes cuisses, bruit qui m'excita encore plus que je ne l'étais déjà.
    Il prit un rythme que je jugeais bien trop lent et je le lui fis comprendre en remuant mes hanches comme la diablesse que j'étais en cette occasion.
    Il accéléra légèrement, tout occupé à faire durer son plaisir et ne pas lâcher son jus trop tôt à son gout.
    Il faisait de petites pauses pour freiner son éjaculation, pauses qui me laissaient dépitée.
    Je me déconnectais de sa queue pour m'agenouiller entre ses jambes subitement.
    Mes yeux dans les siens, un sourire coquin aux lèvres, je le pris en bouche et me mis à le sucer promptement.

    Laurent : je ne vais pas tarder à jouir ma puce ... me dit il dans un souffle.

    Je sentais en effet aux soubressauts de sa verge malmenée que son jus ne demandais qu' à jaillir.
    Je le lâchais enfin et lui présentait mes seins.

    Moi : viens bébé, ils sont tout à toi !
    Lâche ton jus sur eux s'il te plait le suppliais je.

    Laurent n'attendais apparemment que cette invitation à honorer ma poitrine qu'il aimait tant.
    Il se mit à se branler énérgiquement de sa main droite, j'étais hypnotisée, mes yeux allant de son regard à sa queue en branle.
    Dans un cri sauvage à peine audible, sa voix était étranglée, il fit coulisser la peau de son membre en ébullition une dernière fois avant que je ne reçoive sur mon buste ses premières giclées de sperme chaud et épais.
    Celui-ci se mit à couler entre mes seins jusqu'à mon nombril.
    Je résistais à l'envie de le récupérer pour le porter à ma bouche.
    Laurent lui, était aux anges, remballant déjà sa queue trempée et refermant sa braguette.
    Il n'oublia pas que je n'avais pas joui, moi, et entreprit de remédier à cet état de fait.
    Il me tendit la main pour m'aider à me relever, m'embrassa et me mit assise sur le siège de sa moto.
    Ce fut son tour de s'agenouiller et de m'offrir une caresse buccale.
    Moi, les mains dans ses cheveux, je le laissais faire.
    Il m'aspira le clito avant de lècher ma vulve.
    Déjà deux de ses doigts se perdaient en moi et me pénetraient.
    Ayant compris que j'aimais les rythmes plutôt soutenus, il les fit entrer et sortir de moi avec fougue, tout en continuant de me sucer le clito qui était sorti de son abri de chair.
    Des spasmes se déclenchaient dans mon corps tant sa caresse était intense, profonde.
    Arrivée au paroxysme de mon plaisir, je serrais brusquement mes cuisses dans un dernier spasme, en jouissant bruyamment.

    Laurent me laissa un moment de répit, histoire de récupérer un peu, puis m'embrassa à nouveau.
    Je goutais à ma cyprine sur ses lèvres, dans sa bouche ...

    Je me rajustais non sans peine, remis mon casque, encore sous le coup de notre étreinte fougueuse, et grimpais derriere Laurent qui démarra dans la foulée.

    Dieu que j'aimais cet homme avec lequel je m'accordais si parfaitement ...

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