• Ma 1ere experience en trio ( suite )

     

    Le lendemain matin, me réveillant dans ma chambre d'hôtel, je n'en revenais encore pas de l'audace que j'avais eu à accepter de baiser avec ce couple rencontré la veille au soir.
    Bien sur ça avait été délicieux cette rencontre impromptue.
    Il faut dire que le couple avait su me faire jouir en beauté malgré l'absence de sentiments entre nous.
    Je me sentais, depuis, coupable comme un enfant venant de faire une grave bêtise .
    Il fallait que vite je me ressaisisse avant que mon compagnon ne me rejoigne.
    J'avais trouvé ce laconique texto de lui sur mon portable à mon lever :
    " Désolé pour hier soir ma puce, le boulot m'a retenu au bureau et je n'ai pas pu te rejoindre à temps ; ne m'en veux pas s'il te plait, retrouvons nous à ton hôtel vers 10h ce matin ... je t'aime fort bébé ".

    Il était temps que je me bouscule, 9h s'affichait déjà sur la pendule de la chambre.
    Je laissais l'eau tiède de la douche baigner mon corps courbaturé, enivrée par la senteur vanille de mon gel-douche.
    Ma main passait et repassait lascivement sur ma poitrine généreuse, glissait dans mon entrejambe comme pour effacer les traces de mes récents ébats nocturnes.
    Je m'enroulais alors dans mon ample drap de bain afin de me sécher.
    J'enfilais ensuite une petite culotte de coton, un soutien gorge pigeonnant et fignolais ma tenue avec un joli porte jarretelle noir qui retenait mes bas résilles.
    Je complêtais alors avec une petite jupe ample à carreaux et un chemisier de soie.
    Jugeant ma tenue parfaite dans le reflet du miroir de la salle de bain, je me préparais à recevoir la visite d'Yvan, mon amoureux du moment.
    10h moins le quart, un coup discret frappé à la porte de ma chambre m'indiqua son arrivée.
    Je savourais l'odeur de son after-shave tandis qu'il m'embrassait à la porte en m'enlaçant.

    Yvan : Bonjour ma chérie, excuses moi encore pour hier mais je n'ai pu m'échapper. As tu passé une bonne soirée quand même ? me dit il l'air contrit.
    Moi : Ma foi tu ne m'as guère laissé le choix bébé ... j'ai passé une excellente soirée si tu veux savoir lui répondis je avec une pointe d'énervement dans la voix et le rose aux joues en repensant à ce qui s'était passé la nuit dernière.
    Yvan : Je t'ai expliqué ma puce que ma réunion de travail avait duré plus longtemps que prévu ! m'assena t il agacé.

    Je lui servis une tasse de café pour me donner une contenance, lui en voulant encore un peu.
    Mais je ne pu résister longtemps à la douceur de son regard et à sa main qui se posait doucement sur la mienne.
    Il me fit signe alors de m'approcher de lui, assis sur son fauteuil, et me fit assoir sur ses genoux.

    Yvan : Tu es très en beauté ma belle !

    Je souriais à son compliment et le récompensais d'un baiser.
    Sa bouche avait un gout de café, puissant, mais était bien douce sous la mienne.
    Déjà sa langue forçait le passage de mes lèvres et s'enroulait autour de la mienne pour un baiser plus passionné encore.
    La culpabilité ne m'avait toujours pas quittée et je me demandais encore si je me devais de lui raconter ma rencontre avec Fred et Léa.

    Il ne m'en laissa pas l'occasion en me soulevant dans ses bras musclés pour me porter jusqu'à mon lit.
    Il m'y allongea sur le dos et se coucha à mes côtés.
    Ses doigts déboutonnaient mon chemisier, déjà, pour jouir de la vision de mes seins lourds.
    Sa bouche tendre s'attaquait à mes tétons qui durcissaient de plaisir sous cette caresse.
    Je sentais ses mains parcourir mon corps, caressant longuement le haut de mes cuisses tandis qu'il me murmurait des mots d'amour.
    Je me tortillais avec ravissement dans cette étreinte, mes mains s'affairant à ouvrir le zip de son pantalon de toile.
    Il m'aida en se dézippant lui-même en affichant un large sourire de contentement.

    Yvan : j'ai terriblement envie de toi Manue chérie, mmmmm

    Ses mots exaltèrent mon excitation car moi aussi je le voulais à cet instant là.
    Il s'enhardit alors en remontant ma jupe et en introduisant sa main dans l'entrebaillement de ma culotte.
    Ses doigts glissèrent sur mon pubis légèrement duveteux et son index monta à l'assaut de mon bouton d'amour.
    Je le sentis jouer sur ma fente humide avant de s'introduire dans ma chatte brûlante.
    Un gémissement à peine audible sortit de ma gorge.
    Son gland réagissait à la caresse que je lui prodiguais alors.
    Sa queue était déjà en forme, bien raide, prête à assouvir nos désirs charnels.
    Il remuait ses hanches pour se branler dans ma main.
    Ses lèvres avaient quitté mes seins pour entreprendre elles aussi ma chatte.
    Il avait abaissé ma culotte à mes chevilles et, les mains enserrant mon posterieur, il plongeait avec délice sa langue dans mon con.
    Ce cunnilingus me portait aux nues, réellement.
    Il me fit jouir deux fois consécutives rien qu'avec sa langue.
    Je me débarrassais vivement alors de mon chemisier, de mon soutien-gorge et de ma jupe tandis que lui faisait de même, se mettant nu également.
    S'ensuivit alors des moments exquis de partage de nos corps en ébullition.
    Il me prit en missionnaire comme Fred la veille au soir et je savais d'ors et déjà que la conclusion ne serait pas la même puisque mon bel Yvan allait certainement jouir en moi.
    Yvan redoublait d'ardeur à me pilonner sauvagement, son regard suivant les mouvements de sa queue qui entrait et sortait de mon vagin.
    Quand il s'aperçut que j'étais sur le point d'exploser, il me regarda avec amour et, poussant un grand râle de jouissance, il lâcha sa semence en moi, profondément empalé.
    Il continua de me limer encore quelques minutes tandis que mon corps était encore secoué par mes spasmes de jouissance.
    Il se retira enfin, épanoui, pour m'embrasser longuement.

    Je me sentais moi aussi honorée de cette fusion entre nous.
    Il s'était légèrement assoupi et je décidais alors de lui parler de ma singulière rencontre de la veille.

    Moi : Bébé ? j'ai quelque chose d'important à mes yeux à te raconter, ça concerne ma soirée d'hier ...
    Je te demande de me comprendre et de ne pas m'interompre s'il te plait.
    Hier je me sentais vraiment perdue sans toi, alors je suis allée noyer mon chagrin de ne pas t'avoir à mes côtés en allant me ballader sur la plage à côté de l'hôtel.
    J'étais perdue dans mes pensées quand j'ai vu ce couple, Léa et Fred, qui prennaient du bon temps.
    Je ne sais pas ce qui m'a pris mais je les regardais avec envie et à ma grande surprise, ils m'ont rejointe et m'ont proposé de participer à leurs ébats.
    J'étais énervée et je t'en voulais tant de m'avoir abandonnée qu'à ma grande surprise j'ai accepté leur invitation indécente.
    Si ça peut te rassurer, Fred m'a prise mais n'a pas éjaculé en moi ...
    J'ai toutefois pris mon pied tandis qu'il me pénètrait.
    Et maintenant je me sens coupable vis à vis de toi chéri.
    Excuses moi ...
    Yvan : Arfff, je n'ai qu'à m'en prendre à moi-même bébé me répondit il avec de la tristesse dans la voix.
    Dieu m'est témoin que j'ai tout fait pour te rejoindre hier soir !
    Je comprends fort bien ce qui a pu te traverser l'esprit hier et c'est à moi seul que j'en veux.
    Au moins tu y auras pris du plaisir !
    Arretes de culpabiliser ma puce, ta réaction est compréhensible.

    Une bouffée d'amour m'envahit alors à ce qu'il venait de me dire.
    Je me blottis dans ses bras réconfortants et nous dormîmes serrés l'un contre l'autre jusqu'au moment du déjeuner.
    Nous prenions justement notre repas dans le restaurant de l'hôtel quand le rose me monta de nouveau aux joues : je venais de reconnaitre, trois tables plus loin, Fred et Léa.
    Mon coeur se mit à battre la chamade et je les observais en coin.
    Yvan, intrigué, me demanda si je connaissais ce couple qui me fixait ouvertement et m'adressait leur salut de la main.
    Confuse, je lui répondis qu'il s'agissait de Fred et de sa femme Léa.
    Le sourire d'Yvan était forcé, je le voyais bien mais il m'enjoignit malgré tout à les inviter à notre table.
    Me voyant hésiter un moment, il leur fit lui-même signe de nous rejoindre.
    Fred et Léa ne se firent pas prier longtemps et dans un même élan vinrent s'asseoir à notre table.

    Fred : Bonjour Manue, comment allez vous ?
    Bonjour, je me présente, Fred ! et voici ma femme Léa ! dit il à Yvan.
    Yvan : salut, moi c'est Yvan, le compagnon de Manue ! répondit il poliment. Manue m'a parlé de votre rencontre hier dit il avec une certaine provocation dans la voix.

    Dans un soucis de désamorcer la tension qui s'était installée je me mis à discuter de choses et d'autres, en forçant, en quelque sorte, Yvan a participer à la discussion établie avec le couple.
    Au bout de 5mn à peine, Yvan s'excusa et se rendit aux toilettes, me laissant de nouveau en tête à tête avec Fred et Léa.
    Fred sauta sur cette occasion pour me demander comment j'avais présenté notre rencontre à Yvan.
    Je lui répondis que je l'avais fait en toute franchise, lui racontant comment il m'avait prise et que j'en avais tiré satisfaction.
    Je ne lui cachais pas cependant que mon compagnon assumait l'entière responsabilité de ce qui s'était passé de par son absence mais qu'il devait le prendre très mal au fond de lui.
    Fred opina de la tête en me disant que ça allait s'arranger entre nous car il avait remarqué comment Yvan me regardait avec amour.
    Yvan justement revenait à notre table visiblement plus détendu, à voir le sourire léger qu'il affichait.
    Je le constatais avec grande surprise quand il invita Fred et Léa à nous accompagner à la visite du musée de la ville l'après midi même.
    Fred, me faisant un clin d'oeil discrêt, accepta aussitôt avec plaisir.

    Notre visite du musée fut faite dans l'insouscience totale.
    Yvan avait semble t il mis de côté sa rancoeur pour le couple, les trouvant charmants dans le fond.
    Nous regagnions tous les quatre l'hôtel ou je logeais quand Fred nous proposa de les rejoindre dans leur suite pour boire un verre.
    A mon grand étonnement Yvan répondit à cette invitation qui me faisait peur personellement.
    L'ambiance resta conviviale tandis que nous sirotions nos verres dans la suite.
    Léa essayait d'aguicher Yvan, sous mes yeux, sans gêne.
    Je compris alors que leur piège se refermait sur nous.
    Yavn et elle s'étaient lancés dans une discussion à laquelle je me défendais de participer par pure jalousie en voyant qu'Yvan lui succombait peu à peu.
    A un moment il me jeta un regard particulier, comme s'il me demandait une permission de s'autoriser un plaisir.
    Je compris de suite de quoi il s'agissait et acquiesçais discretement.
    Fred, jusque là silencieux, me demanda de le suivre dans la pièce d'à côté, ce que je fis.
    Yvan se leva et vint s'asseoir dans le fauteuil à côté de la belle Léa.
    Fred avait laissé entrebaillée la porte du salon et nous les observions de notre cachette.
    Je lui confiais alors que je me doutais de ce qui allait se passer entre eux et que je ne l'autorisais qu'en raison de la culpabilité que je ressentais à m'être laissée aller avec eux la veille au soir.

    Léa embrassait goulument mon Yvan à l'instant même, une main déjà posée sur sa queue qu'elle branlait au travers du tissu de son pantalon.
    Yvan, sa bouche toujours collée à la sienne, me surprit alors à m'observer dans l'entrebaillement de la porte.
    Il me fit un clin d'oeil, il n'était pas dupe que je me rinçais l'oeil moi aussi.
    C'est alors que je sentis la queue de Fred dans mon dos, qui se frottait sur mon posterieur.
    Je restais cependant sans bouger, goutant ce contact, excitée moi aussi par la vue d'Yvan chez lequel le désir montait, à voir la bosse qui déformait son pantalon.
    Léa lui glissa quelques mots à l'oreille et mon compagnon s'agenouilla devant son fauteuil.
    Je m'aperçus avec stupeur que cette cochonne ne portait pas de culotte quand elle ouvrit ses cuisses à mon chéri.
    Yvan glissa d'abord un doigt dans sa fente avant de l'y plonger, découvrant combien la garce était déjà mouillée.
    Son doigt fut prestement retiré pour y coller sa bouche.
    J'entendis les bruits de succion qu'il lui prodiguait alors qu'elle passait ses jambes par dessus ses épaules, pour mieux ressentir ce cunni magistral.
    Fred n'était pas en reste lui non plus, car après avoir longuement branlé sa queue toute dure entre mes fesses, il me descendit ma culotte aux genoux et présenta son gland devant ma chatte excitée.
    Ses mains sur mes hanches il me cambra pour pouvoir s'y introduire en levrette, ce qu'il fit aisément du reste.
    Yvan avait laissé tombé son pantalon à ses pieds, son boxer avait suivit dans la foulée et il présentait une belle queue épaisse devant la bouche gourmande de Léa.

    Yvan : vas y ma belle , suces moi bien à fond, gourmande ! Regardes comme tu me fais bander, garce !

    Léa ne se fit pas prier plus longtemps pour engloutir cette belle queue qui lui faisait fortement envie.
    Yvan remarqua alors que nous étions passés à l'action Fred et moi,en voyant ma tête hocher d'avant en arrière.
    Il se mit alors à baiser la bouche de Léa avec plus d'ardeur encore, les mains posées dans ses cheveux.
    La fellation avait duré 10 mn à peine que je le vis exploser dans la bouche de sa partenaire du moment.
    Sa jouissance provoqua la mienne du coup et je giclais sur le sexe de mon baiseur.
    L'orgasme fut si intense que mes jambes furent pris de tremblements et Fred jugea utile de lâcher dans ma chatte repue, son jus que je sentis jaillir puissament en moi.
    Il m'embrassa dans le cou en me remerciant de ce plaisir partagé.

    Mais rien n'était fini quand je vis Léa se mettre debout contre le dossier de son fauteuil et demander à Yvan de la baiser.
    Connaissant mon gars je savais d'avance qu'il ne résisterait pas à une telle demande et il enmancha direct cette goulue de sexe.
    Cambrée autant que possible, un genou reposant sur le haut du fauteuil, elle subissait les coups de boutoir de mon enragé de chéri, son gros cul remuant en cadence.
    Ils ne leur fallut pas longtemps pour conclure de la plus belle des façons qu'il soit, Yvan, par respect pour moi qui lui avait confié que Fred n'avait pas éjaculé en moi la veille, se retirant de la chatte de Léa qui venait de jouir, pour arroser sa chute de reins de sa semence abondante dans un cri cette fois.

    Cette experience restera un souvenir mémorable pour nous deux ma foi.

     

    ( à suivre ... )

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