• Ma 1ere experience en trio ( fin ).

     

    Les pensées étaient confuses dans mon esprit.
    Comment en étions nous arrivés là ?
    C'est Yvan qui engagea la discussion sur le sujet de retour dans ma chambre.

    Yvan : Ma chérie, il faut qu'on parle de ce qui vient de se passer pour éviter que ça ne prenne une proportion qui nous dépasserait tous les deux ...
    J'avoue que je t'en ai voulu de t'être laissée aller avec eux deux de cette façon.
    Et c'est pure provocation de ma part que j'ai baisée cette Léa comme je l'ai fait.
    Tu sais combien je t'aime ma puce !
    Moi : Je le sais ça Yvan ... c'est d'ailleurs pour cette raison que j'ai accepté de te partager avec cette chaudasse qui t'avait cherché toute l'après-midi. C'était pour moi une façon de me racheter à tes yeux bébé, on est quitte à présent !
    Yvan : On est loin d'être quitte ma puce ! Tu crois que je ne t'ai pas vue te faire enmancher par ce Fred derrière la porte entrebaillée ?
    Tu penses que je ne t'ai pas vu jouir sous ses assauts ? ton regard en disait long ma belle, reconnais le !
    Moi : arff, oublies ça tu veux ? te voir planter ta queue dans sa chatte brûlante m'a mise dans tous mes états bébé et c'est à ta queue que je pensais tandis qu'il me pillonnait.
    J'ai découvert aussi que ça m'avait excitée de te voir en baiser une autre ! voilà tout ...
    Yvan : bien bien alors ... je vais te proposer une chose alors chérie dit il en m'embrassant, écoutons nos envies de voyeurisme et allons faire un tour dans un club échangiste, nous verrons bien si ça nous branche d'une façon ou d'une autre. Ne nous obligeons à rien, juste à gouter l'ambiance de l'endroit ...
    Es tu partante pour cette aventure bébé ?
    Moi : Je ne sais pas encore Yvan, je suis confuse suite à ta proposition ... laisses moi y réfléchir s'il te plait chéri !

    Tout en lui disant ça, je savais pertinament que cette idée de club m'échauffait déjà le bas-ventre ... et que ma décision était déjà prise.
    Je lui en fis part en début de soirée.
    Il semblait ravi que j'ai finalement accepté si facilement cette idée de club et il se mit aussitôt à l'oeuvre sur son portable pour trouver ou se situait le plus proche de l'hôtel.

    Yvan : Habilles toi sexy ma petite chérie car cette nuit est à nous ! me dit il en riant.

    Talons hauts portés sur des bas de soie tenus par un ravissant porte-jaretelles de dentelle noir avec un string rouge-sang accordé à son joli soutien-gorge qui me faisait remonter la poitrine, le tout dissimulé sous une jupe qui m'arrivait au genoux et un petit chemisier de soie à rayures, déboutonné jusqu'à la naissance de mon décolleté vertigineux, je me trouvais jolie et sexy en diable. Je rajoutais à ma tenue quelques gouttes de parfum enivrant, un collier fil au bout duquel pendait un petit coeur en argent massif ainsi que deux grandes créoles argentées à mes oreilles.
    Je vis que ma tenue était parfaite à l'intensité du regard que me jeta Yvan juste avant de couvrir mes lèvres des siennes.

    Nous roulâmes une demi heure, guère plus, avant que mon chéri ne gare sa C5 noire sur le parking de ce club qui ne payait pas de mine, situé dans une zone artisanale ou la discrêtion à cette heure était assurée.
    Enfin, quand je dis discrêtion, ce n'était pas le cas pour ce couple entrain de copuler sauvagement sur le capot de leur voiture, garée non loin de l'entrée du club.
    Je me pris à sourire bêtement en les regardant un instant en compagnie d'Yvan qui resserait la pression de sa main sur ma taille, envahi certainement par des idées inavouables.

    Le club " Le Cupidon " nous ouvrit ses portes, un serveur nous indiqua le vestiaire ou laisser nos vestes.
    Yvan était vraiment un bel homme avec son pantalon de toile écru, ses mocassins et cette belle chemise bleu-nuit que je lui avait offerte dèrnièrement.
    Nous nous assîmes à une table comme de vieux habitués et commandèrent nos boissons qu'Yvan entreprit de règler de suite.
    Au bar, d'élégantes jeunes femmes papillonnaient des yeux en sa direction, sensibles au charme qui se dégageait de lui, le tout sous un air jazzy qui s'échappait de la salle de danse juste à côté de nous.
    Nos consommations bues Yvan me prit la main et m'entraina pour danser.
    Nos corps s'accordaient parfaitement dans une danse des plus lascives, je me sentais si bien dans ses bras musclés que j'en oubliais presque l'endroit ou nous nous trouvions.
    La danse finie, il m'embrassa passionément.
    Nous décidâmes de partir en exploration de ce club libertin en franchissant un épaix rideau de velours vert qui masquait ce monde ou tous les échanges étaient permis.
    Yvan me suivait de près, une main sur ma taille comme pour affirmer sa possession.
    Nous divaguions dans ce couloir à l'ambiance feutrée quand mes yeux furent attirés par une alcôve à ma droite.
    Un rideau de perles scintillantes laissait entrevoir ce qui s'y passait.
    La lumière était tamisée mais dès que nous y entrâmes nous fûmes accueillis par les sourires coquins des gens qui s'y trouvaient.
    Il y avait là un couple qui se caressait gentillement et plus loin sur la large banquette un homme seul, d'une quarantaine d'années, le sexe à la main qui profitait du spectacle qui lui était offert.
    Yvan prit place entre le couple et l'homme seul sur la banquette et m'indiqua de la tête d'en faire de même.
    J'étais fébrile, mon chéri dut le sentir en m'embrassant sur les lèvres.
    Je répondis cependant à son baiser qui m'enivra, sentant les mains de chéri monter à l'assaut de ma poitrine.
    Sa main droite s'engouffra dans mon soutien-gorge et il me palpa le sein avec adoration, le découvrant à la vue des autres convives.
    Sur la gauche d'Yvan l'homme solitaire avait accéléré les mouvements de sa main sur sa queue et semblait sur le point de conclure.
    Je n'avais pas pour habitude de m'exhiber au regard d'inconnus, celà me troublait mais l'ambiance érotique que dégageait ce lieu m'y encourageait.
    Je pris alors l'initiative d'ôter mon chemisier et de rester en soutien-gorge.
    L'homme seul en profita pour changer de place pour se rapprocher du couple à côté de nous.
    Le couple était plus enclin au partage quand je vis que le solitaire empoignait les mamelons de sa voisine, tout en continuant de s'astiquer la tige.
    Il posa sa bouche sur l'un de ses tétons, l'aspirant avec force et dans un long râle déversa son jus sur le sol.

    L'homme qui tripotait sa compagne voyant le foutre étalé sur le sol se montra alors plus hardi envers celle-ci et la fit s'asseoir dos contre son torse sur ses cuisses, branlant sa tige et tatonnant le sexe de sa femme jusqu'à s'y enfoncer jusqu'à la garde. Sa femme se mit alors à bouger sur cette queue qui l'empalait.
    Ne suivirent plus que des gémissements de tous les deux au fur et à mesure que l'homme se déhanchait avec bonheur dans cette chatte avide de jus. Ils ne tardèrent pas à jouir tous les deux d'ailleurs.
    Yvan m'embrassa et me fit signe de poursuivre notre exploration.
    Levant mon chemisier pour l'enfiler je changeais rapidement d'avis et suivit mon chéri en soutien-gorge, mon chemisier sous le bras.

    Nous restâmes un instant dans l'alcove " glory-hole " dans laquelle un pénis black dépassait d'un trou capitonné au mur, sexe qui pendait lamentablement faute d'érection et de femme pour le prendre en bouche.
    Yvan me demanda si j'étais prête à le sucer mais devant mon refus n'insista pas.
    Nous poursuivimes notre chemin dans l'enfilade des couloirs ornés de photos de pins-up.
    A gauche une salle de belle taille meublée de larges banquettes comme la précédante ou s'épanouissaient plusieurs couples mais beaucoup plus d'hommes que de femmes. La salle " orgie" comme son nom l'indiquait était un joyeux bazar ou la baise à plusieurs était de rigueur apparemment. De ça et là des femmes se faisaient fourayer par tous leurs trous devant une flopée de gars qui, leur queue en main, admiraient le spectacle orgiaque.
    J'indiquais à voix basse la petite alcove à ma droite réservée aux couples qui désiraient garder leur intimité pour eux : une petite pièce tendue de velours rouge avec pour seul meuble un large fauteuil en cuir et qui fermait à clé.

    Yvan ne se fit pas prier pour y pénétrer à ma suite, fermant la porte avant de me plaquer dos au mur.
    Me prenant la main, il la posa sur son sexe qui était déjà de belle taille.
    Je me mis à le frotter sur la toile de son pantalon.
    Il me baisa la nuque, les épaules, faisant naitre en moi des frissons qui montaient le long de mon échine et faisaient se tendre mes seins qu'il m'avait empoignés pour les malaxer.
    Il avait à présent sorti sa queue de son pantalon et se frottait sur mon fessier à travers ma jupe.
    D'une main habile il défit les boutons qui retenaient ma jupe et la jeta sur l'assise du fauteuil.
    Sa queue quitta ma main tandis qu'il s'agenouillait derrière moi.
    Il me demanda alors de bien me cambrer pour lui offrir mon cul.
    J'écartais rapidement la ficelle de mon string, lui dévoilant ma rondelle interdite, rondelle qu'il se mit à lècher longuement.
    Une main glissée dans mon entrejambe j'en profitais pour me titiller le clitoris qui ainsi entrepris commençait à émerger de son capuchon de chair.
    Les lèvres douces de mon chéri étaient enfin descendues plus bas et la pointe de sa langue jouait avec ma vulve trempée de cyprine.
    N'en pouvant déjà plus, je lui demandais à voix basse de me prendre en levrette.
    Il me retourna alors face à lui.

    Yvan : Tu vas d'abord me sucer ma petite chienne ... m'ordonna t il en présentant sa queue devant ma bouche.

    J'accèdais à sa demande en faisant glisser sa trique dressée entre mes lèvres tandis que lui, ravi et excité comme jamais, partait à l'assaut de mon vagin de ses doigts.
    Je gémis le sentant s'enfoncer dans ma chatte d'un coup.
    Je le branlais avec ardeur sur toute la longueur, mes mains jouant sur ses couilles rebondies, ma bouche aspirant son gland qui grossissait dans le confort douillet de ma gorge.
    Il se mit à râler, mon beau mâle, au fur et à mesure de mes succions sur son vit bien bandé.
    D'un coup, sans prévenir, il m'empoigna les cheveux et se mit à me baiser la bouche avec fougue, râlant comme un diable.
    Au dixième coup de sa pine il s'enfoncea alors profondément dans ma gorge et y lâcha ses jets de foutre qui me firent tousser.
    Se retirant de ma bouche il s'excusa en m'embrassant.
    Déçue que celà soit arrivé si vite alors qu'il ne m'avait même pas baisée, je crachais sa semence sur le sol, marquant là ma désaprobation.

    Yvan : j'ai tellement envie de toi Manue ... regardes ma queue, elle n'a pas débandée encore ! tu vas l'avoir ta levrette ma cochonne, je vais t'enfiler comme jamais, crois moi ! me dit il en souriant, content de lui.

    Je me retournais contre le mur en lui tendant effrontément mes grosses fesses.

    Moi : T'as intérêt à me faire jouir mon salaud ! sinon ce cul tu ne le reverras plus !

    Il posa ses mains effilées sur mes hanches, m'inclinant suffisament pour rendre sa pénétration plus aisée.
    Avec délice je sentis son gland se frotter plusieurs fois sur ma fente avant de s'enfoncer doucement dans mon vagin, prenant possession de mon corps.
    Je restais figée dans un premier temps, laissant Yvan se déplacer en moi dans un rythme lent.
    Sa large queue exerçait une pression fort agréable sur mes parois vaginales tant et si bien que je me mis en branle moi-aussi à la cadence qu'il m'imposait.

    Moi : mmmm que c'est bon, que tu es gros en moi. Je la sens bien ta queue mon chéri ...
    Vas y baises moi plus fort encore ! lâchais je dans un cri.

    Yvan qui n'attendait que ça je suppose se mit alors à me baiser avec force.
    Il s'enfonceait profondément dans mes entrailles en soufflant, son front couvert de sueur.
    De peur de conclure trop rapidement il ralentit sa cadence, en profitant de cette pause pour honorer mon clitoris dressé et abondament mouillé.
    Quelques minutes après, il me décolla du mur pour me placer contre le fauteuil, me relevant une jambe que je posais sur l'accoudoir.
    Puis reposé sans doute, il reprit sa levrette en regardant encore une fois sa queue besogneuse me pourfendre la chatte.
    J'étais sur le point de jouir sous ses coups de boutoir, je bougeais de plus en plus vite sur son sexe ragaillardi.

    Yvan : je ne vais pas tarder à venir chérie, prépares toi à recevoir mon foutre chaud dans ta chatte !

    Et sentant mon vagin se contracter sur sa queue, signe de la jouissance qui me ravageait le corps, il se laissa aller à lâcher son sperme en moi en s'avachissant de tout son poids sur mon dos, laissant se perdre son dernier jet sur l'interieur de ma cuisse, jus que je sentis lentement couler le long de ma jambe.
    Il me fit m'asseoir sur le fauteuil le temps de récupérer de nos efforts à tous deux.
    Perché sur l'accoudoir il déposa sur ma bouche un tendre baiser en me murmurant à l'oreille un " je t'aime ma Manue chérie " qui me combla de bonheur.
    De ma chatte s'écoulait encore son jus ...

    (Merci à toi Fred, mon inspiration ;) )

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