Je trainais seule ce soir sur la plage, j'avais le moral dans les chaussettes.

La mer soufflait sa brise salée autour de moi, je ne savais plus quoi penser du lapin que m'avait posé ma dernière conquête.
Qu'il aurait été agréable de me promener au bras de cet imbécile qui avait su ravir mon coeur de femme de 50 ans.
Nos ébats étaient encore vifs dans mon esprit, je sentais encore son odeur, j'avais encore sur mes lèvres le gout de sa peau et au coeur l'empreinte qu'il avait tracée.
Je me mis assise sur le sable, perdue dans ma rêverie nocturne.
Non loin de moi un couple échangeait des baisers passionnés.

Je les regardais avec envie.
L'homme pelotait allègrement la poitrine de sa compagne, nullement dérangé par ma présence.
Sa compagne gémissait fort, toute chamboulée par ces caresses dont son compagnon l'honorait.
Je l'entendis distinctement lui demander de lui faire l'amour sur cette plage.
J'étais fortement gênée d'assister à cette scène quand je compris que l'homme accèdait à sa demande.
D'un geste preste il enleva son bermuda, laissant apparaitre sous mes yeux, l'étendue de son désir pour elle.

Sous l'éclairage de la lune, je devinais son sexe par ombre chinoise, une queue de taille honorable ma foi.
Il sembla alors noter ma présence en me regardant franchement.
Ses yeux se détournèrent aussitôt pour se poser sur les beaux atours de sa femme.
Sa bouche trouva la pointe dur de ses seins gonflés de désir, la main de sa femme se posa sur sa queue érigée et fière.
J'entendis alors " quand y en a pour deux, il y en a pour trois ! ", nul doute, ces paroles m'étaient adressées !
Non mais, quel toupet ces deux la !
Je décidais de ne pas bouger mais peine perdue, l'homme se réajusta et vint vers moi.

Lui : Bonsoir, Fred pour vous servir ! me dit il en riant
Moi : Enchantée, Manue ! mais dites, vous n'êtes pas gênés de vous vautrer ainsi sur cette plage !
Lui : Non, du tout gêné et pourquoi donc d'abord ? vous êtes de la brigade des moeurs ? Joignez vous plutôt à nous au lieu de nous mâter de loin ! ah ah ah ...

Je le vis faire un geste de la main vers sa compagne afin qu'elle nous rejoigne, ce qu'elle fit déréchef.

Elle : Bonsoir, je m'appelle Léa. Je vous ai déjà vue à l'hôtel, nous sommes descendu au même Fred et moi même dit elle avec un large sourire qui mettait encore plus en beauté ses traits.

Ignorant tout bonnement la présence de son mari à nos côtés, nous nous mimes alors à discuter comme deux vieilles amies.
Chemin faisant les mains de Léa s'égaraient sur le corps de Fred qui n'en demandait pas mieux.
Je vis de nouveau son bermuda s'abaisser et toujours le même regard posé sur moi.
Cette queue me fascinait, un vrai régal que de l'imaginer me faire du charme.

La bouche de Léa embrassa Fred goulument.

Je devinais leur jeu de langues lascives et celà me tourna les sangs.
Un gémissement s'échappa de ma gorge.
Fred se retourna vers moi et enfourna sa langue dans ma bouche pour un baiser volé.
Surprise par ce geste je me mis à répondre à ce baiser timidement.
Déjà Fred reprenait son jeu avec sa partenaire, lui mordillant la peau de l'épaule avant de lècher de nouveau ses seins généreux.
Léa choisit ce moment pour enfin s'occuper de moi, me caressant de sa main moite le haut de mes cuisses dénudées sous ma robe qui s'était légèrement relevée.
Ou peut-être l'avais je moi-même relevée inconsciemment ... Allez savoir !
Sa main droite branlait allègrement la queue de Fred tandis que sa main gauche cherchait déjà mon intimité.

Je resserrais mes cuisses quand sa main me trouva enfin.
Je sentais ses doigts se frotter à mon pubis au travers de ma culotte qui était déjà trempée d'excitation.
Du bout de ses doigts elle l'écarta pour fouiller mon intimité.
Mes gémissements s'intensifièrent pour se mêler aux râles de Fred que l'emprise de Léa sur sa queue était entrain de rendre fou.

Lui : Chérie mets toi à quatre pattes s'il te plait, je n'en peux déjà plus bb !

Léa s'executa alors non sans me demander de dénuder ma chatte pour y poser sa bouche gourmande.
Je m'éxécutais à mon tour, me débarrassant de mon étoffe et écartant les cuisses pour lui en laisser l'accès.
Fred se mit en position derrière le cul rebondi de sa femme, frottant son large gland dans le sillon fessier de sa belle qui haletait.
Il humecta sa main, caressa son membre et s'introduisit dans sa chatte d'un coup sec, ce qui fit grandement gémir Léa.
Tandis que ses hanches commençaient leur va et vient, Léa me léchait avec passion.

Un coup de langue sur mon clito, sur ma vulve pour en jauger de l'humidité puis finalement elle enfonça sa langue râpeuse dans mon vagin qui exultait ...
Tout n'était que stupre à cet instant, on entendait les bruits de succion de Léa sur ma chatte, quelle pompeuse d'ailleurs ! et le clapotis de la grosse queue de Fred qui entrait et sortait tandis que ses couilles pleines frappaient les cuisses de madame.

Une semaine que je n'avais pas baisé si ardemment, cette rencontre resterait longtemps en ma mémoire tellement c'était bon.
Fred s'était arreté de limer la chatte de Léa pour nous observer, la bave aux lèvres.

Lui : Manue ? puis je vous honorer moi aussi ? ma queue ne demande qu'à vous rendre hommage là !

Ma gorge était si serrée à ce moment là que je ne pus formuler un mot !
De la tête j'acquiesçais en souriant.

Il me prit en missionnaire devant Léa, sa queue plongeant en moi pour son plus grand plaisir.

Léa m'embrassa avant de s'occuper de mes seins qu'elle lécha avec application.
Fred lui attrappa sa main qu'il posa sur son sexe qui me pénetrait, lui demandant de le branler et de lui toucher les couilles.
mmmmmmm que c'était bon cette baise sauvage !
Je n'allais d'ailleurs pas tarder à jouir moi-même, sous la queue de ce solide gaillard qui me pilonnait avec force.

Moi : hannn je vais jouir Fred ! baises moi plus fort et plus vite s'il te plait !

Fred s'henhardit alors à accélérer ses coups de boutoir dans ma chatte jusqu'à ce que je parvienne à l'orgasme, orgasme qui vint sans tarder, contractant les parois de mon vagin contre sa queue.
Il sortit alors de mes entrailles repues, et se mit à branler énergiquement sa longue queue de sa main droite, en jetant un regard à sa belle.

Léa comprit immédiatement quelle était son intention et offrit sa bouche pour recevoir le foutre de son amant.
N'osant m'interposer dans ce moment de communion extrême entre ces deux amants, je me contentais de les regarder.

Lui : Tiens ! prends ça ma salope ! mon jus n'est rien que pour toi ! et avale tout hein !

Il se mit à pousser des râles gouturaux à mesure que son orgasme montait dans sa queue.
Ses mouvement étaient de plus en plus rapides, son gros gland violacé se contractait de même que ses couilles et soudainement il ralentit la cadence de son branle, tirant la peau de sa queue à fond et lâchant sa semence chaude et blanchâtre sur le visage de Léa gémissante.
Le premier jet atteignit sa joue mais les autres s'engouffrèrent dans la cavité buccale de la cochonne.

Ni une, ni deux, elle avala tout ce foutre épais tandis que moi-même, n'ayant pu résister à mon envie, j'enfournais la queue du bel étalon dans ma bouche pour la nettoyer.

( à suivre ... )