• Entre nylon et soie, il y a toi, il y a nous ...

     

    Je n'ai pas envie d'aller à cette soirée entre potes, ça m'épuise.
    Mes amis se sont mis dans l'idée de me trouver quelqu'un pour satisfaire mes besoins sexuels : "hygiénique " me disent-ils ... tu parles ... mes doigts me suffisent amplement !
    Déjà que la dernière fois j'ai eu droit à une sorte d'hippie qui, toute la soirée, m'a tenu un discours sur le retour à la nature.
    Tu parles d'un coup ! il devait surement avoir l'habitude de baiser ses chèvres mdr

    Je vais y aller histoire de ne pas me faire harcelée par mes "amis".
    Je vais vite me préparer, ma douche a déjà été prise heureusement car j'ai déjà 15 mn de retard.
    Maquillage vite expédié ( je me préfère au naturel), une goutte de parfum fleuri, à la violette, derrière les oreilles, dans mon cou, à la naissance de mon décolleté et sur le haut de mon pubis (on ne sait jamais).
    Petite culotte en soie, ajourée et garnie de dentelle, le soutien-gorge assorti d'où mes seins volumineux tentent de s'échapper, des bas noirs en nylon, mes préférés, le tout sous une robe fleurie légère qui virevolte à chacun de mes mouvements.

     

    Entre nylon et soie, il y a toi, il y a nous ...


    J'attrappe au passage mon joli sac à main dans lequel j'enfourne mon portable puis chausse mes hauts talons.

    Ils sont tous déjà là, sirotant leur apéro en discutant.

     

    Entre nylon et soie, il y a toi, il y a nous ...


    Je les embrasse l'un après l'autre, me présentant rapidement à un personnage qui m'est encore inconnu : certainement le dom juan qu'ils m'ont choisi ....

    Il est pas mal du tout physiquement et me fixe déjà de son regard émoustillé.
    Je m'assieds à côté de lui, pas le choix de toute façon, seule cette place est libre.
    Nous prenons part à la discussion, échangeant nos anecdotes sur la vie.
    Et la soirée se passe tranquillement, sagement.
    Y a comme un feeling spécial entre ce Fred et moi, feeling qui se précise quand je sens une main discrètement se poser sur mon genou.
    Sa pression est ferme et chaude.
    Mon coeur s'accélère.
    Il me sourit, jouant parfaitement l'innocence, le bougre.
    Il doit être chaud comme la braise.
    Je jauge rapidement son entrejambe et effectivement, il doit en avoir une belle demi-molle dans son pantalon.
    Je lui souris en retour mais retire quand -même sa main de mon genou.

    Moi : Permettez-moi de vous laisser un instant mais j'ai envie de fumer une clope !
    Fred : Permettez-moi de me joindre à vous dans ce cas, addict à la nicotine aussi !

    Nous nous levons et, alors que je me dirige vers la sortie de ce restaurant réputé, il m'attrappe le bras et prend la direction des toilettes masculines.
    Je suis étonnée de ce rapt mais avec un sourire au coin des lèvres je le suis.
    Heureusement les toilettes sont désertes.
    J'aurais eu l'air bien fine si ça n'avait pas été le cas.
    Il m'entraine dans le fond de cette salle, vers ce qui semble être l'endroit où la femme de ménage stocke ses produits d'entretien.
    Il a surement du déjà venir en repérage lol
    Porte fermée à clé, nous voilà à l'abri des regards.

    Lui : Je m'excuse Manue de me comporter aussi cavalièrement mais je mourrais d'envie de passer un moment seul avec vous. Les amis c'est sympa mais un peu trop encombrant parfois.
    Moi : Je vous comprends Fred, je pense exactement la même chose !
    Lui : Je ne sais pas ce qui m'arrive mais je ressens comme une attraction entre nous non ?
    Moi : Je suis troublée également ... vous ne me laissez pas indifférente.

    Nous discutons quelques minutes ainsi jusqu'à ce qu'il me déclare avoir envie de me faire l'amour.
    Je ne pensais pas que les choses iraient si vite !
    D'une main délicate il entrouvre le col de ma robe et mate passionnément la naissance de ma poitrine, poitrine qui se soulève rapidement avec les pensées salaces qui me passent par la tête.
    D'un doigt il caresse mes tétons encore prisonniers de ma lingerie.
    Il m'attrape la main et la pose sur la bosse au creux de son pantalon.

    Lui : j'ai envie de toi, tu m'excites.

    Il s'agenouille alors à mes pieds et hume mon parfum au travers de mes bas nylon.
    Ses lèvres douces glissent sur le nylon jusqu'en haut de mes cuisses.
    Mon sexe se comprime au fur et à mesure de ses assauts.
    Je remonte ma robe jusqu'à mes cuisses et la coince dans le haut de ma petite culotte.
    Ses lèvres remontent toujours plus haut, me baisent le pubis avec dévotion.
    Je laisse échapper un gémissement, suivi d'un profond râle de sa part.
    Je m'aperçois qu'il a dégraffé son pantalon en toile et qu'il se branle lentement en respirant et en touchant mes bas.
    Ah bon, un fétichiste sans doute !
    Je me mets à terre et lui me suit dans le mouvement.
    Il continue de me caresser l'entrejambe, les seins.
    Soudain il me déchausse et se frotte le sexe sur mes pieds, gainés de mes bas nylon.
    J'allonge mes jambes en le repoussant gentillement et commence à le branler de la même façon, en utilisant mes pieds.
    Ma caresse semble lui paraitre exquise à voir son membre s'engorger ainsi.
    Les yeux fermés il pousse de petits gémissement qui me font mouiller ma culotte de soie.
    Je taquine de la pointe du pied son gland turgescent en gémissant moi aussi.
    A cet instant je le vois se crisper, son bassin se contracter et de longs jets de foutre blanc et chaud se répandre sur mon pied.
    Bien oeuvré Manue !
    Le sourire qu'il affiche et l'intensité de son regard me suffisent comme remerciement mais lui s'empresse de m'embrasser.
    Pas un baiser de pacotille mais un baiser plein de sensualité et de passion.

    Quelqu'un vient d'entrer aux toilettes, nous l'entendons ruminer contre sa femme en urinant.
    Claquement de porte, oufff le voilà déjà sorti.
    Fred a repris du poil de la bête et m'allonge sur le dos au sol.
    Il vient juste d'ôter son pantalon.
    Nous n'en n'étions apparement qu'au premier round, chouette !
    Sortant un mouchoir en papier de sa poche il entreprend de m'essuyer le pied sur lequel son sperme s'étale encore.
    Puis, sans mot dire, de sa main, il me caresse l'entrejambe bien trempée déjà par mon excitation, touchant mes bas nylon au passage, et glisse un doigt dans ma fente par l'entrebaillement de ma culotte.
    Je devine que la soie de celle-ci l'excite aussi.
    Toujours de sa main, le bougre écarte ma culotte sans me l'enlever, ce qui aurait été plus pratique pour lui quand-même mais bon ... et plonge la tête la première entre mes cuisses largement ouvertes.
    Je sens sa langue sur mon clitoris et un spasme me secoue le bas du dos.
    C'est si bon de le sentir là, surtout avec cette ardeur qu'il a à me sucer, me lécher, par petits coups d'abord puis en m'aspirant totalement.
    Je vais défaillir je le sens !
    Aux mouvements que fait mon bassin, à mes gémissements il décide soudainement de changer de position.

    Lui : ahh ! une bonne petite levrette maintenant, voilà qui devrait te plaire Manue ! dit-il avec un sourire coquin.

    Effectivement, il me demande de m'agenouiller et de lui présenter mon posterieur.
    Ni une, ni deux, je m'exécute !
    Je le sens s'approcher de moi, toujours plus près.
    Il réitère en me suçant l'abricot, longuement, je peux entendre ces divins bruits de succion qui m'ennivrent.
    Cette caresse, au bout de quelques minutes, cesse, je dois paraitre assez lubrifiée pour enfin voir venir son chybre.
    Il tapote sa queue contre mes fesses, me donnant quelques claques du plat de sa main sur le posterieur.
    Tu as trop regardé de pornos mon ami :D
    Soudain je devine que son membre réquinqué à présent se pointe à l'entrée de mon vagin, je le ressens dans ma chair.
    Il me taquine la vulve avec, puis dans une poussée, le rentre bien au fond de mon intimité.
    Son sexe, assez large, me remplit totalement et met aussitôt en branle mon bassin qui s'agite frénétiquement.
    Lui me calme un peu en me fessant mais au contraire, celà accroit encore mon excitation.
    Entendant de nouveau un mec entrer dans les toilettes, nous cessons tout bruit.
    J'en profite pour introduire ma main dans ma culotte et me caresser le minou.
    Voyant celà, Fred se déconnecte vivement de ma chatte brûlante pour appuyer ses lèvres sur mon clito.
    Je retiens avec grande peine les gémissements qui me montent à la gorge.
    Le mec ayant uriné ressort de la pièce, nous autorisant à reprendre nos bacchanales.
    Je me retourne alors, bien décidée à reprendre les choses en main.

    Toujours à genoux, je demande à Fred de se mettre debout devant moi, sa queue à hauteur de ma bouche.
    Ce qu'il fait sans rechigner.
    J'attrappe son sexe gorgé de sang et l'engloutit rapidement.
    J'ai envie de goûter à son jus, je n'ai pas honte de le lui dire.

    Lui : je suis si excité que ça ne devrait pas tarder à gicler ma belle !

    Mes lèvres, aidées de ma main sur sa pine, font coulisser ce membre désiré dans ma gorge.
    J'aspire le gland violacé avec avidité, je le suce telle une furie.
    Lui, une main crispée dans mes cheveux, râle de plaisir, suivant le rythme que je lui impose.
    Il n'en peux plus et me glisse simplement << je vais jouir Manue ! surtout n'arrête pas, c'est si bon ! >>.
    Je le sens prendre de l'ampleur dans ma bouche qui se prépare à accueillir son offrande.
    Mes deux doigts sur mon clito s'agitent avec la frénésie de la jouissance, jouissance que nous connaissons au même instant, lui se vidant les couilles dans ma bouche avec des soubressauts.
    Je termine ma fellation en lui léchant le bout de la queue qui commence déjà à retomber, satisfaite de cet instant rempli de lubricité, avalant goulument la moindre goutte de son sperme chaud.

    Que ce moment fut délicieux ! vraiment je ne regrette pas d'être venue ...
    Nous nous réajustons rapidement, ennuyés à l'idée de ce que peuvent penser nos amis de notre brusque départ à tous deux.

    Lui : ne t'en fais pas Manue ... avant de me lever j'ai fait un clin d'oeil assez explicite à ton ami Luc en bout de table et je pense qu'il a deviné ce qui se passait entre nous !
    Moi : de toute façon je vais être cuisinée par eux je le sens dis-je dans un grand éclat de rire.
    Tandis que Fred se prépare à déverrouiller la porte, je lui glisse délicatement dans la poche ample de sa veste, sans qu'il ne s'en rende compte, ma petite culotte trempée en témoignage de cette fusion charnelle plutôt réussie.

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