• Déménagement sans ménagement !

     

    Le voilà ce jour tant redouté, ce jour ou je quittais mon studio pour ne plus y revenir jamais ...

    J'en fais le tour justement, histoire de récupérer mes dernières affaires avant de partir à 10 minutes de là, dans mon nouveau " chez moi ".

    Mon sac dans la main je quitte enfin ce logis, sans regret aucun.

    Mon nouvel appartement est plus spacieux, ainsi l'ai je voulu.

    A peine la porte ouverte je me tiens la tête entre les mains : quel bazar !

    Les cartons de mes affaires s'entassent dans chaque pièce, dans un pêle-mêle déconcertant.

    Heureusement que j'ai eu à l'esprit de noter le contenu et la destination de chacun d'eux à même le carton sinon je serai totalement perdu.

    Le plus important à présent est de déballer mon linge et mes ustensiles de toilette et de cuisine, dans cet ordre d'ailleurs.

    Un carton plus petit que les autres m'interpelle ... bizarre ... je ne me souviens pas de l'avoir rempli celui-là.

    Aucun renseignement annoté non plus dessus ...

    Je l'éventre sans scrupules et découvre stupéfait les affaires qui s'y trouvent, osant à peine y plonger mes grosses mains.

    Des tee-shirts féminins à fleurs, deux jupes assez courtes, des brassières de sport et des petites culottes qui m'émoustillent direct !

    Il n'y a pas à dire, ce carton ne m'appartient pas !

    Je téléphone directement à l'agence de déménagement qui a convoyé mes affaires pour apprendre que le carton appartient certainement à la jeune femme qui a fait appel à leurs services juste avant moi.

    En leur mettant un petit coup de pression, je parviens à obtenir les coordonnées de la-dite jeune femme en question.

    Je décroche immédiatement mon portable et tombe sur son répondeur.

    Je lui laisse un message donc.

    Fred : Bonjour Madame, je m'appelle Fred et viens de découvrir un de vos cartons de déménagement glissé parmi les miens. Je me permets de vous appeler afin de convenir d'un rendez vous pour vous le restituer.

    Dites moi quel jour, quelle heure afin que cet échange puisse être fait. Je demeure au " ... à Metz ".

    Bien à vous, Fred !

    Deux jours plus tard je fais enfin la connaisssance de ma mystèrieuse inconnue.

    Anne-Marie est une jolie femme, la quarantaine, elle exerce la profession de psychanalyste.

    Elle me remercie de l'avoir contactée et se met à rougir quand je lui décris le contenu de son carton malencontreusement atterri chez moi.

    Je lui propose de venir le récupérer à mon appartement, chose qu'elle accepte immédiatement : pas farouche cette femme ! J'ai su la mettre en confiance apparemment.

    Nous en profitons pour nous raconter nos vies mutuelles autour d'un diner frugal préparé par mes soins, en nous promettant de nous revoir bientôt.

    Je ne regrette nullement cette journée, bien au contraire, vu sur quoi elle a débouché.

    Ah ! pour nous être promis de nous revoir, nous nous sommes en effet revus !

    Volupté de nos rencontres, plaisirs charnels partagés, coquin a trouvé sa coquine à vrai dire.

    Chaque retrouvaille est propice à l'étreinte de nos corps assoiffés de sexe.

    Libres tous les deux nous ne nous en privons pas, nous retrouvant tous les mardis soirs, quel délice !

    Justement elle doit me retrouver ce soir.

    Je suis impatient comme toujours de la revoir, je fais des plans dans ma tête sur les positions que nous allons pouvoir explorer tous deux.

    La seule chose qui me dérange ce sont les sentiments amoureux qui la submergent à mon égard.

    Je lui ai pourtant dit de suite, après notre première rencontre, que je ne croyais plus à l'amour, que j'en étais revenu il y a un moment déjà, et que je voulais rester libre.

    Elle va certainement souffrir en découvrant que je ne partage nullement ses sentiments et que je la vois uniquement comme une sexfriend ... l'avenir nous le dira !

    Il y a une heure je lui ai envoyé un simple sexto pour lui dire de ne pas mettre de culotte sous sa tenue.

    Je la sais suffisamment attachée à moi pour venir me retrouver sans en porter une.

    La voici qui sonne à ma porte justement.

    Je lui ouvre et me jette sur sa bouche immédiatement, glissant mes doigts sous sa jupe courte pour voir si elle m'a obéi.

    Mes doigts explorateurs découvrent rapidement son pubis nu, la naissance de sa fine toison qui me plonge en extase.

    Bien ma chienne ! je lui glisse au creux de l'oreille.

    Elle entre chez moi en dandinant son sublime posterieur.

    Ses seins opulents, qui débordent légèrement de son décolleté, se balancent au gré de ses pas sur ses talons.

    Elle s'assied sur mon canapé, croisant et décroisant ses jambes longues.

    Je m'assieds en face d'elle après avoir déposé sur la table du salon deux verres de rhum arrangé, dans lesquels se noient quelques glaçons.

    Je suis déjà torse nu, ne portant qu'un petit short en jeans qui laisse deviner mon excitation à ce petit jeu pervers que j'ai initié.

    Je lui ordonne alors de venir vers moi à genoux et de me dégraffer mon short.

    Elle s'exécute en souriant, d'une main légèrement tremblante.

    Au moment ou elle s'apprête à entrer en contact avec ma queue dressée je le lui interdis formellement.

    Je me débarrasse de ce bout de tissu devenu inutile en lui indiquant de se mettre nue elle aussi.

    Encore une fois elle m'obeit.

    Son petit bustier étroit tombe rapidement sur le sofa.

    Déjà sa main s'attaque à dégraffer la fermeture de sa jupe et je peux contempler le tissu léger glisser de sa taille à ses chevilles.

    Son cul est voluptueux comme ses seins, généreusement dessiné, chacune de ses fesses invitant au désir charnel.

    Comme elle est de dos à moi, je devine à son entrejambe, le renflement charnu de ses lèvres vaginales, dans la lumière du soleil qui se couche.

    Tel un prédateur sautant sur sa proie, je me colle à son dos, faisant naitre des sensations au creux des reins de ma coquine.

    Je lui ordonne de garder les yeux fermés, pour mieux percevoir les choses que je vais lui faire gouter.

    Ma poitrine se frotte dans son dos, mes tétons durcissent en réaction.

    Je m'agenouille derrière elle, mes mains posées sur ses hanches.

    Déjà mes lèvres s'approchent de son fessier rebondi.

    Je fais courir ma langue dans le sillon entre ses fesses, m'arretant sur son petit trou.

    Je salive beaucoup, inspectant cet endroit délicieux.

    Une odeur douce monte de son entrecuisse ouverte, saveur qui déculpe mes sens en éveil.

    J'atteinds enfin sa vulve, Anne-Marie se penche en avant pour m'offrir son bouton d'amour.

    Ma main droite s'est détachée de ses hanches pour venir se poser sur mon sexe en émoi.

    Je me branle allègrement devant ce cul qui m'excite tant.

    Anne-Marie, qui n'est pas en reste, fouille son intimité elle-aussi, sentant que je me caresse sans scrupules derrière son cul tendu.

    Je l'entends alors gémir doucement, elle commence à bouger son bassin en rythme.

    Ma langue se pose enfin sur sa vulve, la lèche, l'aspire, faisant naitre une douce folie chez ma coquine.

    Je me rassieds sur le sofa, laissant ma belle fouiller hargneusement sa belle petite chatte, elle a toujours les yeux fermés.

    Déplaçant un coussin du sofa, je m'empare de mon jouet fétiche, un jouet qu'aiment ces dames quand on sait s'en servir.

    C'est un gode à piston, une machine démoniaque.

    Je le met en branle, il fait du bruit l'engin !

    Je caresse le dos d'Anne-Marie avec, le descend le long de son bras, m'attarde un peu sur sa hanche et lui titille l'interieur des cuisses avec.

    Je l'entends me supplier " Vas y Fred, prends moi, je suis ta chienne ".

    Alors d'un seul coup, j'enfonce le gland du jouet dans sa chatte trempée d'excitation.

    Ma chienne gémit de surprise bien fort, ce qui accroit ma propre excitation.

    Il faut d'ailleurs que je calme mon ardeur à faire jouer ma main sur ma queue, de peur de jouir là de suite, comme un malotru.

    Parfois je retire l'engin de la chatte de ma belle pour le remplacer par ma bouche, plongeant ma langue profondément dans son vagin en demande.

    Et ce qui devait arriver se produit : elle jouit sur ma bouche, m'envoyant au fond de la gorge, un jet de sa liqueur féminine.

    J'en suis ravi forcément ... et je m'en délecte.

    Elle se laisse choir au sol sur le lino, manquant au passage de me crever un oeil avec ses talons !

    Anne-Marie : Oh Fred ! ce que c'est bon ! vas y continues chéri !

    Je ne peux me défiler devant cette supplique pleine de passion.

    Avec un grognement sourd je la couvre alors de mon solide corps musclé.

    Ma main droite se câle sous son ventre et je la remets sur ses genoux.

    Ma queue bat l'air désespérément contre son cul.

    Je sais qu'Anne-Marie n'aime pas le rapport anal, elle ne cesse de me le répéter à chacune de nos rencontres charnelles.

    Mais ce soir c'est moi qui tient les rênes de nos ébats.

    L'a t'elle compris ?

    Sans doute à entendre ce NON ! plaintif dont elle me gratifie.

    Je lui dis juste que c'est un réel enchantement de la prendre par son petit trou et que si elle me le refuse là, s'en est tout simplement fini de nos parties de jambes en l'air.

    Cette nouvelle l'estomaque réellement et fait glisser des larmes de ses jolis yeux qu'elle a grands ouverts à cet instant fatidique.

    Je prends sur moi et lui réclame sa bouche pour faire passer son chagrin.

    Elle répond à mon baiser avec fougue mais sa tentative à faire échouer mon projet sexuel échoue lamentablement.

    Je me répète en mon for interieur que ceci n'est, ni plus ni moins, que la punition que je désire lui donner pour m'avoir avoué qu'elle m'aimait l'autre jour.

    Je lui écarte enfin les jambes et prépare son oeillet à me recevoir.

    Je mouille abondamment mon index de salive et l'introduit lentement dans son anus.

    Il me résiste bien.

    Ma main, restée libre, court de ses tétons à son clitoris, il faut que je la détende bien.

    Mon index effectue à présent de petits vas et vient dans son cul, en rythme et je sens qu'Anne-Marie commence à apprécier cette caresse.

    Je m'emploie à lui glisser des mots salaces dans son oreille.

    Fred : Tu vas aimer ça ma petite chienne ! tu vas jouir de plaisir quand tu sentiras ma queue raide en toi.

    Cambre toi bien, offres moi ton beau cul ma belle ! Laisse moi ce plaisir de jouir en toi par là ! etc ...

    Elle semble réfléchir et finalement perdre ce combat.

    Mon index rentre en elle à présent comme dans du beurre.

    Je me redresse et frotte mon gland contre son anus détendu.

    Parfois je force la résistence de sa pastille en l'introduisant jusqu'au frein.

    Les premieres tentatives se soldent par ses petits cris de douleur ou de crainte mais bien vite je la sens y prendre un certain plaisir.

    Elle me surprend en forçant d'elle même la pénétration de ma queue que je vois avec un grand plaisir s'introduire jusqu'à la garde.

    C'est doux, c'est chaud, humide et étroit : un vrai régal !

    Je m'enhardis à me glisser tout entier dans son boyau en emettant un grognement sourd, aussitôt suivi par ses gémissements à elle.

    Je commence à la pénétrer dans une cadence assez lente, pour bien jouir du moment.

    Nos corps tendus sont couverts de sueur.

    Anne-Marie se déchaine à présent sur mon sexe, ses hanches vont et viennent avec frénésie.

    Je lui mets de grands coups dans son cul qui se trémousse en rythme, content de l'avoir initiée avec réussite au rapport anal.

    Je vais jouir me crie t'elle ! Viens, donnes moi ton foutre mon salaud !

    C'est bien la première fois qu'elle me sort ce genre de propos !

    Je m'accroche à ses hanches frénétiquement et la martèle encore plus fort.

    Je sens que pour moi aussi la jouissance est proche.

    Me sentant venir je me retire soudainement de son petit trou et la retourne sans ménagement sur le dos.

    Elle est surprise par mon revirement mais n'en laisse rien paraitre de peur de me fâcher sans doute.

    Aussitôt je porte ma main sur son sexe, lui empoignant durement la motte.

    Elle gémit de plus belle en sentant mes doigts parcourir son clito surexcité.

    Je fouille son vagin brutalement, la pillonnnant de mes doigts très vite.

    Ma main sur ma queue se fait plus vive aussi et ses paroles " je jouiiiiiiiiii Fred ! " enclenchent ma propre éjaculation.

    Mes doigts qui malmenaient ma queue prête à exploser un instant auparavant glissent sur ma tige dans un mouvement lent de va et vient, tirant la peau jusqu'à son frein pour laisser jaillir ma semence gluante et chaude sur son pubis assoiffé de jouissance.

    Je regarde avec délectation les longs jets de sperme éclater sur sa peau douce, remplissant son nombril, arrosant l'interieur de ses cuisses, jusqu'à ce dernier jet presque transparent qui atteint l'un de ses tétons.

    Bordel que j'ai pris mon pied, et ma chienne aussi.

    Je replonge ma queue qui vient de donner son jus dans sa chatte, comme un ultime hommage à ce qui vient de se passer.

    Le temps de lui mettre encore quelques coups de piston et je la sens se ramollir.

    Epuisé je m'écroule sur elle qui me sourit en m'offrant ses lèvres à baiser une dernière fois.

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