• Bon anniversaire !

     

    Nathalie du haut de ses 40 ans arrosés la semaine passée fredonnait aux sons de la musique qui égayait cette fête de fin d'année de fac donnée par ses enfants, Léa et Dimitri, qui y suivaient leurs cours depuis deux ans maintenant.

    Elle se préparait dans sa chambre à sortir au restaurant avec son mari Christophe.
    Cela faisait bien trop longtemps qu'ils n'étaient pas sortis ensemble seuls, l'entreprise de Christophe lui prenant tout son temps.
    L'informatique était peu à peu devenue sa maitresse ...
    Ce soir Nathalie voulait son mari pour elle seule, comme par le passé, quand il avait pris ses 20 ans avec la fougue et la passion de leurs jeunes années.
    Elle se remémora les plaisanteries grivoises de son fils quand il l'avait vue à son retour de chez l'esthéticienne, criant haut et fort qu'il ne voulait pas de petit frère, ce qui l'avait fait sourire sur l'instant.

    Il faut dire qu'elle avait fait des efforts particuliers pour subjuguer son mari en cette soirée.
    Elle avait choisi une guêpière gris perle satinée avec de la dentelle qui laissait deviner sa peau douce par transparence. Ses seins étaient merveilleusement mis en valeur par les bonnets qui les soutenaient et les propulsaient vers l'avant mais les laissaient à demi dévoilés.
    La culotte était de la même dentelle fine sous laquelle transparaissait sa toison soigneusement dessinée et laissait voir une bonne partie de ses fesses rebondies.
    Des bas gris fumée complétaient la parure.
    Elle se voulait séduisante, peut-être même provocante.

    Le téléphone sonna, elle décrocha le combiné et sa mine défaite annonça l'ambiance générée par ce coup de fil.
    Christophe, pris par un contrat urgent qu'il devait finir de boucler, venait de lui annoncer un retard conséquent de son retour à la maison.
    Cette annonce avait mis Nathalie en rage !
    Elle s'apprêtait à sortir de sa chambre, oubliant tout à fait dans quelle tenue elle se trouvait, quand des éclats de voix dans le couloir devant sa chambre la clouèrent sur place.
    Elle reconnue de suite la voix fluette de Nadine, la petite amie de son fils chéri et celle un peu plus grave de Julien, le copain de fac de Dimitri.
    Entrouvant la porte discrêtement, elle pu ainsi les observer tandis qu'ils se disputaient.

    Julien : Nadine arrête !!!
    Nadine : Bébé, laisse-moi te faire un petit cadeau pour tes 21 ans !

    Nadine était à genoux devant Julien.
    Elle lui avait ouvert le pantalon, et tenait dans sa main le sexe à demi rigide du jeune homme.
    Décidément cette gamine était une vraie vicieuse, elle masturbait effrontément le plus jeune et le plus gentil garçon de la bande, sous le toit de son petit ami.

    Nadine : Laisse-toi faire, Julien, tu vas voir comme s'est bon de se faire sucer par une bouche experte.
    C'est ton anniversaire et moi je t'offre une pipe comme cadeau !
    Tu sens mon souffle chaud sur ta bite ? Tu vas voir tout à l'heure, quand je te l'aurais couverte de ma bave !

    Julien n'en pouvait plus.
    Jamais on ne lui avait parlé ainsi, jamais on ne lui avait caressé le sexe.
    Il était tétanisé contre le mur, Nadine à ses pieds mais surtout son organe sexuel bandé comme arc, prêt à être englouti par la bouche chaude de cette fille à ses genoux.
    Et tous ces mots l'excitaient terriblement.
    Il n'y avait pas que lui d'excité d'ailleurs.
    Nathalie, de sa cachette, voyait tout, entendait tout, et cette situation lui avait fait oublier sa colère.
    Cela déclenchait même une sensation bizarre qui partait du fond de son ventre pour irradier vers son entre-cuisse et lui desséchait légèrement la gorge.
    Sa main droite avait insidieusement glissé vers son pubis et commençait à prendre possession de sa vulve, la dentelle de sa culotte n'étant qu'un semblant de protection.
    Nathalie n'attendait plus que Nadine embouche le sexe de Julien pour faire pénétrer deux ou trois doigts dans son sexe à elle qu'elle sentait se liquéfier comme jamais.
    Julien aussi n'attendait plus que la bouche de Nadine l'emprisonne entre ses lèvres pour découvrir la libération de la tension qui tenait son membre viril bandé.

    Nadine se releva brusquement et partit d'un gros éclat de rire en lui disant : " Alors, Bébé, tu croyais quand même pas que j'allais sucer ta bite de puceau ! Même pas en rêve !!! "

    Elle partit en rigolant et se moquant du pauvre Julien qui ne comprenait plus ce qui se passait.
    Ce qu'il n'avait pas rêvé se transformait en cauchemar !
    Il était seul au premier étage d'une maison qui n'était pas la sienne, le pantalon et le slip à mi-cuisses, son sexe tendu à lui faire mal et une grande claque à sa sensibilité qui le laissait prostré contre le mur du couloir.
    Nathalie non plus ne comprenait pas ce qui venait de se passer.
    C'était une nouvelle douche froide dans son esprit mais la chaleur et la moiteur qui avaient envahi son ventre et son sexe eurent tôt fait de prendre possession de sa volonté.
    Ses seins avaient durci et ses tétons dressés perçaient presque à travers la dentelle des balconnets.
    Elle ouvrit la porte en grand et appela Julien d'une voix chaude et sensuelle qu'elle ne se connaissait pas.
    Elle qui ne voulait pas essuyer une nouvelle déconvenue, s'approcha de Julien, lui remonta maternellement ses habits, mais ne les remit pas vraiment en place et surtout ne recouvrit pas ce qui était devenu le seul objet de sa convoitise.
    Elle prit délicatement une main du jeune homme qu'elle porta à son visage pour se caresser la joue.
    Dans le même mouvement, son autre main s'était saisie de cette queue rigide qui omnubilait son esprit et elle se rapprocha de Julien pour lui souffler, lui murmurer, lui sussurrer quelques mots à l'oreille : " Viens, Julien, c'est aussi mon anniversaire, nous allons nous échanger "nos cadeaux ".

    Elle posa un doigt sur la bouche du jeune homme pour le faire taire.
    Puis sa main se posa et caressa sa joue.
    Son pouce se mis à glisser délicatement, sensuellement sur les lèvres de Julien.
    Ce pouce se fit plus pressant afin d'entrouvrir les lèvres et de pénétrer dans la bouche.
    Mais au moment où Julien succombait à cette intromission, elle se plaqua d'avantage contre son partenaire et ce sont ses lèvres qui finirent d'ouvrir les lèvres du jeune homme.
    Ce fut un baiser sauvage, profond.
    A peine étirée sur la pointe des pieds, elle s'appuyait de tout son poids contre le corps du jeune garçon afin de donner encore plus de force à son baiser, mais sans pour autant relâcher le membre raidi qu'elle continuait à cajoler de manière plus douce pour faire une sorte de contraste entre les deux caresses.

    Nathalie était au paradis dans les bras de cet homme qui l'enlaçait si fortement et même lui malaxait et lui pétrissait les fesses la forçant, mais elle était consentante, à écraser sa vulve sur la cuisse qu'il avait glissée entre ses jambes.
    Elle en profita pour se frotter contre cette masse de chair musclée alors qu'elle continuait de masturber le membre viril de son mâle.
    Plus rien n'existait pour Nathalie, plus de Christophe, plus de Dimitri, plus de restaurant, plus de fête au rez-de-chaussée, ce n'était même plus un gamin dans les bras de qui elle était, mais un homme, un mâle avec lequel elle quittait les rivages du désir pour s'enfoncer dans l'océan du plaisir.
    Julien, lui, était aux anges.
    Lui qui n'avait jamais touché une fille de sa vie tenait dans ses bras, serrée contre sa poitrine, la plus belle, la plus sublime des femmes.
    Il commençait à comprendre ce que voulait dire l'expression "le plaisir des sens".
    Ses yeux avait été éblouis par l'apparition de Nathalie, ses narines s'étaient enivrées de son parfum, sa bouche s'emplissait du goût de sa peau, de ses lèvres, ses doigts courraient sur une peau douce et tendre, enfin ses oreilles étaient envahies de ses râles de désirs et de ses soupirs de plaisir.
    Tout naturellement, il fit balancer son bassin pour amplifier la caresse apaisante de la main de sa divine partenaire sur sa barre tendue parce qu'il sentait son volume augmenter du fait du baiser de cette bouche vorace.

    Elle posa un genou sur la moquette moelleuse et vint poser ses fesses sur la jambe repliée sous elle.
    A demi accroupie, son visage était à la bonne hauteur pour réaliser son projet.
    Elle avant devant les yeux un sexe d'homme, et elle sourit intérieurement parce que c'était la première fois qu'elle en regardait un autre que celui de son mari.
    C'était aussi la première fois qu'elle allait en prendre un dans sa bouche.
    Son éducation et celle de Christophe les avaient toujours un peu bloqués, inconsciemment, et si elle avait plusieurs fois caressé le sexe de son mari, sans jamais l'amener à l'éjaculation, elle n'avait jamais embrassé son mari plus bas que le nombril.
    Mais là devant ce membre érigé, cette tige tendue, ce bâton turgescent, devant cette bite gonflée, elle n'allait pas s'arrêter en si bon chemin et comptait bien profiter de ce sucre d'orge qui lui était offert.
    Elle n'avait rien vu de plus beau que le sexe de Julien.
    Elle ne connaissait pas grand chose aux dimensions idéales que devait avoir un "braquemart de baiseur" mais celui que lui présentait son futur amant lui convenait tout à fait.

    C'est la totalité de la longueur de la colonne de chair qu'elle lécha avec toute la surface de son organe buccal.
    Nathalie montait, descendait, faisait frétiller sa langue sur chaque millimètre de cette masse de chair dure qui maintenant était toute à elle.
    Les tressautements, les contractions de cette verge sous sa langue et entre ses doigts l'excitaient au plus haut point.
    Le sexe de Julien était tout luisant de sa salive, Nathalie revenait au sommet du gland puis essayait d'infiltrer sa langue dans le méat.
    Elle récupérait dans sa bouche les prémices de ce qui s'annonçait comme une éjaculation torrentielle, puis repartait pour emplir sa bouche du goût de ce gourdin.
    Elle pris chaque couille dans sa bouche, les suça comme des dragées puis les recracha pour se précipiter comme une furie sur le gland palpitant de son étalon.
    Elle l'emboucha d'un coup en l'enfonçant jusqu'au fond de la gorge.
    Julien cru exploser.
    Pour s'être plusieurs fois masturbé et avoir éjaculé quelquefois en pleine nuit à la suite de rêves érotiques, il savait que son sexe n'allait pas tarder à cracher tout son jus.
    Les caresses de sa sublime maîtresse, la course délectable de sa langue le long de son membre, le souffle chaud de son haleine et la moiteur torride de sa bouche sur sa tige bandée, l'avaient amené à la limite du cataclysme.
    Julien se contracta pour ne pas jouir immédiatement et attrapa la tête de Nathalie pour bloquer son mouvement de va et vient le long de son dard.
    Cette femme était une experte et elle était vraiment trop belle.
    Ne voulant pas être en reste, une de ses mains plongea vers sa vulve.
    Son vagin était aussi en ébullition et débordait de sa liqueur trempant littéralement la dentelle de sa fine culotte.
    Ses doigts agacèrent violemment son clitoris qui était aussi raide que la queue de Julien, l'irritant avec le tulle du sous vêtement.
    Ils le frottaient, le pétrissaient, le malaxaient.
    Nathalie voulait se faire jouir immédiatement, mais son excitation était telle qu'il lui en fallait encore plus. Alors comme une démente, elle s'enfonça deux, puis trois doigts dans la fournaise détrempée de sa grotte aux délices emportant avec ce qui avait été une affriolante petite culotte en dentelle et qui n'était plus qu'une merveilleuse éponge dégoulinante de sa cyprine.
    Dans le même mouvement frénétique et à la même cadence elle pompait le dard de son vigoureux amant accumulant sa salive pour mieux coulisser et pour se préparer au déferlement du sperme du jeune homme. Elle repensa aux sucres d'orge de son enfance et aux sucettes à l'anis d'une certaine chanson.

    Et là, dans un cri ... Julien déchargea tout ce qu'il pouvait avoir dans ses bourses, Nathalie resserra ses lèvres à la base du gland pour ne rien perdre de ce nectar qu'elle espérait tant, alors qu'un terrible orgasme lui emportait tout le corps dans un océan de jouissance qu'elle n'avait encore jamais connu.
    La verge de Julien eut plusieurs soubressauts, envoyant de nouvelles giclées dans la gorge de Nathalie, mais elle s'était bien préparée et malgré la déferlante du premier jet, elle ne s'étouffa pas et put déglutir avec délectation ce jus fort, épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle.
    Et pourtant, pour elle, un véritable hydromel, un nectar, le vin des amazones, la véritable boisson des déesses.
    Elle poursuivit encore un long moment les mouvements de va et vient le long de cette tige brûlante.
    Sa bouche coulissait facilement le long de la barre poisseuse de sperme et de salive, laissant échapper de petits bruits de succion et de déglutition.

    Le jeune homme embrassa sa partenaire à pleine bouche, de toute la fougue de ses 21 ans et de toute la passion qu'avait fait naître la divine fellation prodiguée par sa merveilleuse initiatrice.
    Ce baiser était moins sauvage, moins barbare que le premier mais beaucoup plus intense.
    Le goût de cette bouche aussi était différent, plus fort, plus chaud, plus entêtant et tellement plus excitant. Ce baiser se prolongea car tous deux voulaient profiter de cette union hors du temps. Ce baiser les calmait après l'orgasme violent qu'ils venait de connaître. Il leur permettait de savourer la plénitude d'une telle jouissance.
    Mais ce baiser leur redonnait des forces, les revitalisait, les revigorait et ils étaient prêts pour une nouvelle étape dans la découverte du corps de l'autre. Ce baiser déclenchait en chacun l'envie de s'unir à l'autre pour ne plus former plus qu'un seul corps.
    Déjà Julien ressentait dans son sexe les effets de leurs caresses buccales, et une nouvelle érection de son dard s'annonçait peut être même plus impressionnante que la première.
    La main de Nathalie avait d'ailleurs reprit possession de cette tige de chair afin de la stimuler de nouveau. Le jeune homme avait une nouvelle fois enlacé sa compagne et la tenait serrée contre lui à l'étouffer.
    Plus sûr de lui, ses mains caressaient le dos de Nathalie et même s'aventuraient sur ses fesses.
    Julien se permettait de les flatter, de les palper et de les empaumer pour mieux les pétrir.
    Nathalie, toujours collée aux lèvres de son amant et accrochée à son vît, se cambrait et tendait son cul pour répondre à la caresse.
    Le jeune garçon s'enhardissait et passait ses mains sous la fine dentelle tendue pour n'être en contact qu'avec la peau de sa maîtresse.
    Ainsi soudé à elle, Julien fit pivoter Nathalie pour la plaquer contre le mur.
    Il s'écrasa un peu plus contre elle, glissant à nouveau une cuisse dans son entrejambe. La main qui flattait les fesses se trouva bloquée alors que certains doigts avaient découvert le sillon fessier de sa partenaire. Leurs bouches ne s'étaient pas encore séparées et leurs souffles commençaient à se faire court.
    On n'entendait plus alors que des soupirs, des halètements et des bruits mouillés de lèvres qui se séparent pour s'unir à nouveau.
    Mais leur baiser touchait à sa fin car la tension du désir de s'unir plus intimement grandissait au plus profond de chacun d'eux.

    D'un geste qui aurait pu paraître grotesque ou obscène, mais que Nathalie rendit extrêmement gracieux et sensuel, elle écarta sa culotte trempée, et la roula sur le coté de ses grandes lèvres échauffées pour dénuder sa vulve et rendre sa chatte brûlante accessible au bâton de feu qu'elle tenait toujours en main. Julien était subjugué par tant de grâce, de douceur, émerveillé par la beauté du corps de son initiatrice. Nathalie se hissa sur la pointe de ses escarpins et amena le mat de son amant à l'entrée de sa chatte baveuse.
    Ondulant des hanches, elle enduisit le gland de ses sécrétions intimes et commença à le téter de ses lèvres vaginales comme elle l'avait fait auparavant avec sa bouche.
    Elle promenait l'extrémité du sexe du jeune homme sur toute la longueur du sillon ruisselant pour l'humecter, le lubrifier de sa liqueur.
    Julien n'en revenait pas, c'était encore plus chaud et plus humide qu'une bouche.

    Nathalie : Viens, Mon amour, vas-y, prends-moi d'un coup, défonce moi !
    Maintenant bouge comme tu le faisais dans ma main. C'est à toi de me faire jouir avec ta queue. Vas-y, c'est trop bon, c'est exactement ce que je voulais. Vas-y bouge ! Bouge et ne t'arrête pas !

    Elle était tellement inondée de ses propres sécrétions que la poussée du jeune garçon se fit facilement et que son gland put buter au plus profond de son ventre.
    Elle était remplie, comblée de ce gourdin planté en elle.

    Julien comprit ce qu'il devait faire, jouer de la frustration du retrait pour mieux provoquer la jouissance de la pénétration.
    Le jeune homme se mit à onduler très lentement du bassin d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément.
    Les râles de sa maîtresse lui firent comprendre qu'il avait vu juste.
    Il lui fallait combler cette femme merveilleuse.
    Julien voulait donner à Nathalie tout le plaisir qu'elle lui avait procuré.
    Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds pour le plus grand ravissement de Nathalie qui maintenant ronronnait comme une chatte.
    Pour Julien, c'était de nouvelles sensations. Son sexe s'enfonçait dans un fourreau, souple, moelleux, soyeux.
    Son membre raidit coulissait profondément dans le vagin de sa maîtresse, il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse.
    Le jeune homme sentait sa barre rigide complètement enserrée dans le ventre chaud de sa partenaire et pourtant son membre était étrangement libre d'aller où il voulait.
    Et Julien continuait ses va et vient réguliers, méthodiques qui extasiaient Nathalie.

    Le jeune homme avait compris ce qui se passait aux gémissements plus accentués de sa maitresse mais continua ses mouvements ondulatoires accélérant la cadence pour amplifier leur jouissance et aboutir au plaisir de Nathalie.
    Nathalie voulait que son amant explose maintenant au plus profond de son ventre.
    Elle s'agrippa aux épaules de Julien, et soulevant sa jambe gauche, la passa autour de la hanche de son partenaire pour qu'il la pénètre encore plus loin, encore plus fort.
    La divine initiatrice contracta ses muscles internes pour enserrer cette colonne de chair qui ravageait ses muqueuses les plus sensibles.
    Nathalie y mit toute son énergie comme si elle voulait totalement écraser cette hampe monumentale dans l'étau de sa chatte.
    Le contact du bas soyeux, la caresse de la chair tendre de l'intérieur de la cuisse de sa partenaire sur ses fesses électrisèrent le jeune garçon.
    La pression de la gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final du ventre de sa maitresse.
    Tel le bûcheron voulant abattre le plus gros arbre de la forêt, Julien banda ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua dans cette chatte baveuse comme s'il voulait faire traverser le mur à sa partenaire.
    Il lui pilonnait son con torride pour la propulser jusqu'au plafond.
    Il hurlait des râles d'effort à chaque violente poussée, il implorait le nom de sa maîtresse à chaque coup de boutoir.

    Profitant des poussées fulgurantes de son amant elle avait passé ses deux jambes autour de sa taille, s'empalant davantage sur ce pieu béni des dieux de l'amour.
    Julien lui avait empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et la pénétrer jusqu'à la garde.
    Nathalie gémissait son plaisir, soupirait sa jouissance, râlait ses orgasmes.
    Enfin le jet puissant de la semence de son amant inonda le point le plus profond de la chatte de Nathalie, enfin le flot libérateur de son puissant étalon envahit son sexe ravagé.
    Enfin elle pouvait s'abandonner à la plénitude de sa jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu.
    Julien avait sentit l'imminence de son éjaculation et il avait encore accéléré la force de ses coups de boutoir dans le ventre brûlant de sa maîtresse.
    Il sentit tout le trajet de sa semence partant de ses bourses pleines, remontant le long de la hampe de son sexe tendu, explosant par son gland turgescent.
    A bout de souffle, le jeune garçon enfouit sa tête dans le coup de Nathalie, lui assenant ses derniers coups de bélier pour lui exprimer sa gratitude de jeune puceau.

    L'acte achevé, le jeune garçon un peu déconfit remonta son slip et son pantalon.
    Il y rangea rapidement son sexe flasque et tout poisseux et ses bourses trempées de la jouissance de sa maîtresse.
    Nathalie replaça la dentelle de sa culotte pour masquer sa vulve éclatée au regard énamouré de son amant et, l'embrassant tendrement au coin des lèvres, le poussa vers la porte.

    Nathalie : Julien, mon mari ne va pas tarder. Il faut t'en aller !

  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires de cet article


    Vous devez être connecté pour commenter