• A toi ma belle ...

     

    J'avais envie de goûter à une nouvelle experience ce soir.
    Ça fait un moment que cette idée me travaille l'esprit, il me prend des envies de contact charnel lesbien.
    Ma cousine, elle-même lesbienne, a beaucoup d'amies dans ses relations et elle m'en a présentée une l'autre jour.
    Julie qu'elle se nomme. Petite brune aux cheveux mi-longs, belle poitrine et silhouette menue, excitante en diable.
    J'ai rendez-vous avec elle ce soir.
    Je me suis habillée en conséquence de ce rencard qui se doit d'être torride, c'est ma première fois avec une femme et ça me met un peu en panique.
    Celà fait bien 30 minutes que je retourne mon dressing à la recherche d'une tenue adéquate, ni trop vulgaire, ni trop provocante.
    Je tombe enfin sur un somptueux fourreau noir qui dégage totalement mon dos.
    Je choisis d'enfiler des dessous assortis en dentelle, sur des bas tenus par un porte-jarretelle, rouge comme mes dessous.
    Montée sur mes hauts talons, je prends le temps de m'asperger de quelques gouttes d'un parfum capiteux avant d'attrapper mon sac à mains..
    Jugeant mon reflet satisfaisant dans le miroir de mon hall d'entrée je prends enfin la direction de la maison de Julie.
    Les quelques kilomètres parcourus en voiture me semblent interminables mais j'arrive enfin à destination.

    Julie est là, qui m'attend sur le devant de sa porte.
    Nous nous faisons la bise, elle m'invite à entrer et me conduit directement à sa chambre.
    Elle sait évidemment ce que je suis venue faire chez elle, la coquine.
    Tandis que je m'assieds sur un large fauteuil en cuir dans sa chambre, j'en profite pour détailler mon hôtesse.
    Elle porte un peignoir blanc immaculé en satin qui n'est pas ceinturé à la taille et qui laisse entrevoir le haut de sa toison pubienne ainsi que la naissance de sa jolie poitrine.
    Cette vision me perturbe un peu je dois vous l'avouer.

    Julie : Puis-je t'offrir un thé Manue ? ou préfères tu un bon café expresso ? me demande t elle d'une voix douce.
    Moi : Un thé ça m'ira très bien Julie ! ton peignoir est ravissant ...

    A peine ai-je sorti cette phrase qui sonne faux que je m'en veux.
    Comme elle doit me trouver gauche et peu sure de moi ...

    Julie : Détends toi Manue, passons une bonne soirée toutes les deux, tu n'as rien à craindre de moi sauf peut-être de trouver celà fort agréabe ajoute t'elle en riant doucement.

    Je lui retourne son sourire en riant à mon tour.
    Elle disparait au rez-de-chaussée pour préparer nos breuvages alors que moi je croise et décroise mes jambes nerveusement.
    De retour dans la pièce, quelques minutes plus tard, elle sourit toujours et nous nous lançons dans une discussion interessante ou il est question de la condition féminine de nos jours.
    Le temps passe lentement, nous sommes à présent toutes deux allongées sur son lit, palabrant toujours agréablement.
    Cette conversation m'a bien détendue je dois le dire.
    Julie caresse négligemment mon avant-bras et soudain remonte une mèche de mes cheveux tombée sur mes yeux.

    Ma gorge se serre, son regard a changé, je le vois bien.
    Elle pose son index sur mes lèvres pour me faire taire et s'approche de mon visage.
    Ses lèvres sont pulpeuse je le devine, elles se sont arrêtées à quelques centimètres de ma bouche.
    Elle attend sans doute que je fasse le premier pas et étonemment un courage nouveau s'empare de moi.
    Je réponds à son invitation et mes lèvres humides se posent sur les siennes offertes avec légèreté.
    Je sens la pointe de sa langue chercher la mienne et la trouver pour un baiser délicieux.
    Ses mains se faufilent déjà sur mon corps, me caressant le dos voluptueusement.
    Je la sens agripper les bretelles de mon fourreau et les descendre aussi loin qu'elle le peut.
    Je lui facilite la tâche en me soulevant du lit pour ôter ma robe.
    Me voici en dessous devant elle qui s'extasie sur mes formes généreuses.

    Julie : tu es encore bien trop vêtue Manue me dit elle avec un sourire taquin.

    Avec un brin de gêne et, rougissante probablement, j'enlève le bandeau rouge de ma poitrine et ma culotte suit le même chemin.
    Au moment ou je vais me défaire de mon porte-jaretelles et de mes bas elle me fait comprendre que cet accessoire je peux le conserver.
    Sans doute active t il son fantasme de déflorer la femme à hommes que je suis encore.
    Sa bouche reprend le chemin de la mienne pour un baiser plus appuyé qu'auparavant.
    Elle me fouille la bouche sans vergogne, poussant de faibles gémissements.
    Mon coeur va traverser ma poitrine tant il bat fort.
    Son peignoir s'est entrouvert sur ses petits seins bien fermes et tendus.
    M'enhardissant, je pose ma main gauche sur l'un d'eux et lui attrappe le téton pour le faire rouler entre mes doigts.

    Julie : J'ai tant envie de toi ma chérie ... laisse moi te découvrir ...

    Toujours connectée à mes lèvres, elle glisse alors ses doigts sur le haut de mon pubis.
    L'ayant rasé un peu plus tôt, je perçois des sensations nouvelles à ce frottement intime.

    Son index descend encore et je peux le sentir se glisser sur ma vulve qui perle de bonheur.
    Sa caresse s'approfondit encore une fois et finalement son doigt force l'ouverture de mon vagin.
    Mes yeux se ferment un bref instant goutant cet instant magique.
    Ma bouche se colle à son sein que je suçotte avec ardeur en remerciement sans doute.
    Julie exulte son plaisir en gémissant ouvertement, ce qui fait encore monter ma passion d'un cran.
    Elle a trois doigts en moi à présent, trois doigts qu'elle agite vigoureusement dans ma chatte brulante.
    Je me tortille sous le coup de sa caresse, elle me baise avec ardeur comme j'aime.

    Moi : Ohhh Julie tes doigts sont divins, ne t'arrêtes pas surtout ! je lui glisse à l'oreille.
    Ma jambe repliée se met à trembler soudainement et, avec surprise, j'accueille mon premier orgasme en criant.
    Aussitôt je serre mes cuisses, emprisonnant la main de Julie qui continue de me pilonner, les yeux emplis de passion.
    Je lui retire la main avant que ça ne devienne vraiment douloureux, et me met en quête de sa bouche pour l'embrasser avec passion.

    Je n'ai même pas remarqué que son peignoir était tombé sur le lit ...
    Elle git sur le dos, les cuisses grandes ouvertes, ce qui fait renaitre des sensations au creux de mes entrailles.
    Comprenant ce qui m'anime, elle me fait signe de me placer en 69 sur elle.
    J'obei et trouve ma place tout naturellement.
    Je renifle son odeur de femme chaude en avançant mon visage sur son bouton d'amour.
    Je vois des gouttes de cyprine s'écouler de son vagin, gouttes que je me dépêche d'avaler avant qu'elles ne se perdent sur le dessus de lit.
    Julie réagit à ce contact en balançant son bassin en avant.

    Julie : Oui Manue, suce moi le clito, dévores-moi toute entière ... tya bouche est si douce !

    Je passe brièvement ma langue sur sa fleur d'amour, la titillant juste ce qu'il faut avant d'introduire ma langue dans son vagin, profondément.
    Elle fait la même à mon entrejambe et je lui écrase ma chatte sur le visage pour ressentir encore plus son aspiration.
    Nous nous bouffons mutuellement pendant plusieurs minutes, en poussant quelques râles de bonheur.
    Je sens les muscles de son vagin se resserer autour de ma langue qui s'active plus rapidement.
    Aux mouvements saccadés de ses hanches je comprends enfin qu'elle est entrain de jouir sous ma bouche, je n'en suis pas loin moi non plus.
    Comme si je n'attendais que cet instant je prends à mon tour un pied intense, expulsant dans la gorge de Julie, de longs jets qui témoignent de ma propre éjaculation.
    Celle-ci, ne s'y attendant certainement pas, manque de s'étouffer avec mon jus.
    Je me redresse alors et me rallonge à ses côtés.
    Nous avons sur les lèvres, toutes deux, un sourire béat.

    Moi : Wow, je ne savais pas que ça pouvait être si intense de jouir ainsi ...
    Julie : tu as des talents cachés ma belle, je te le dis ! Je n'étais jamais venue aussi rapidement auparavant alors que je ne côtoie que des lesbiennes !

    Nos coeurs se calment lentement alors que nous reprenons notre discussion.
    Un moment après, Julie descend en cuisine pour nous refaire du thé.
    Je la vois revenir les mugs à la main, magnifique dans sa nudité et, dans l'entrebaillement de la porte, je peux apercevoir sa chatte aux lèvres gonflées ce qui m'inspire de nouveaux désirs charnels.

    Mais c'est ma belle Julie qui relance nos ébats en me caressant les seins avec minutie et dévotion.
    Sa langue butine mon corps, ne laissant aucune parcelle lui échapper.
    Mes mains ne sont pas en reste non plus et caressent les reliefs de son corps.

    Julie : Attends Manue, j'allais oublier mon joujou fétiche me dit elle en allant dénicher un sextoy à double tête qu'elle ramène de sa table de nuit en le lèchant, tout en fixant mon regard surpris.

    C'est la première fois que j'en vois un, sa longueur et largeur m'impressionnent.
    Elle me le passe afin que je juge de sa souplesse, que je l'engloutisse dans ma bouche histoire de l'humidifier moi aussi un peu.
    Je me prends au jeu et le lèche sur toute sa longueur avant de le redonner à Julie.
    Elle m'indique de me positionner à genoux sur le lit, posée sur mes avant-bras, en lui présentant mon fessier rebondi.
    Je m'exécute aussitôt, follement excitée à l'idée d'utiliser à deux, en simultané, ce jouet diabolique.
    Nul n'est besoin de dire que nous n'avons pas besoin de l'enduire de lubrifiant tant nos chattes sont pleines de cyprine bien chaude et abondante.

    Je sens dans mon dos que ma partenaire est entrain de se l'introduire dans le vagin, aux bruits qu'elle fait.
    Puis je sens le gland qui dépasse de l'antre de Julie buter sur ma vulve et s'enfoncer lentement en moi.
    Tout aussi lentement elle commence à bouger entre mes cuisses qui s'écartent d'elles-mêmes pour que la pénétration soit la plus profonde possible.
    Mes hanches se mettent à tanguer d'avant en arrière, je viens à la rencontre de ce gode magique et souple.
    A chacune de ses charges je l'accueille au plus profond de moi, il vient taper agréablement sur mon point G.
    J'entends Julie pousser des han han han à chaque fois qu'elle s'introduit en moi, j'imagine que chacune de ses poussées lui procure un immense plaisir, pareil au mien.

    Preque aussi soudainement que sa venue en moi, Julie se déconnecte de ma chatte et retire le sextoy de son intimité.
    D'une main sur mon épine dorsale, elle fait ployer mon corps et me demande de m'allonger sur le dos, avant de placer ses jambes de part et d'autre des miennes.
    C'est ainsi qu'elle me chevauche, son sexe frottant délicieusement le mien à chacun de ses coups de bassin.
    Elle doit être grande adepte de cette position à voir le plaisir qu'elle prend à sentir son clito en feu racler le mien.
    Ses mouvements, ses soupirs passionnés passent d'une extrême lenteur et douceur à une cavalcade effrenée ou tout n'est plus que frénésie sexuelle de l'instant.
    Je crie son prénom dans cette fougue, elle le mien, nous traitant copieusement de petits sobriquets salaces avec une certaine délectation.
    Le lit ainsi malmené par nos rapports sauvages fait grand bruit lui aussi.

    Julie : Je vais jouiiiiiiiiiir sur toi Manue !

    Je n'ai pas la force de lui répondre que moi aussi je viens car je suis prise par la force de mon orgasme et nous connaissons toutes deux notre plaisir en même temps, nous arrosant mutuellement de nos liqueurs de femmes ...

    Quelle réussite ! merci à toi Julie de m'avoir aidée à réaliser ce fantasme saphique.

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